01-10-2004, 09:56:35 -
polo451, je pense pas kil y ai de souci niveau moteur
faut voir les frein maintenant
fait gaff au radiateur et a l'embrayage ;-)
les silent-bloc de bras arr peuve en prendre un coup si il on leur 190 000 km
tien moi au jus ;-)
pour ce ki est des conseil, ya ca sur le site du WEBCLUBSUBARU >>
CONSEILS POUR QU'UNE SORTIE SE PASSE BIEN...
Une sortie sur piste est, par essence, un grand moment de bonheur.
Malheureusement, parfois, ce genre de sortie tourne au "cauchemard" : auto en miettes suite à un choc, casse mécanique...
Voici quelques éléments qu'il est bon d'avoir à l'esprit pour qu'une sortie se passe dans les meilleures conditions possibles.
LA "PILOTE DU DIMANCHE ATTITUDE" : ETAT D'ESPRIT POUR SE FAIRE PLAISIR
Les circuits automobiles sont des endroits, par définition, réservés aux autos et pilotes de course.
Leur ouverture au public se fait dans le cadre d'un loisir, et non d'une compétition, même avec soi-même.
Pour les avides de performances personnelles, de temps... il y a la "location de piste en exclusivité" qui est très chère, mais qui offre la possibilité d'aller aux limites (voir encore plus loins) sans risque pour autrui.
Lors de journées ouvertes au public, les plages permettant de "pêter un chrono" sont rares, car il y a en général du monde en piste, à des rythmes très différents.
ï· COMPORTEMENT ENVERS SOI-MEME
Avoir (vraiment) conscience de ses limites est un bon moyen de rentrer chez soi entier, accompagné de l'auto, elle aussi, en un seul morceau.
Savoir aussi que l'erreur peut arriver à tout le monde, et surtout à soi, permets :
ï· d'une part d'accepter les éventuelles erreures des autres
ï· d'autre part d'être conscient que l'on pratique un sport dangeureux, que les accidents sont fréquents, et impliquent souvent un mur ou un arbre : les sports mécaniques se heurtent souvent aux loies de la physique, c'est inévitable
Plutôt que de chercher les limites de l'auto, mieux vaut essayer de comprendre les siennes... qui avouent leurs faiblesses bien avant la monture...
ï· COMPORTEMENT ENVERS LES AUTRES
Respect, Tolérance et Bonne Humeur sont les clefs d'une bonne journée.
Garder un oeil dans son rétro, utiliser son clignotant pour se laisser dépasser, ses warnings lors des tours chauffe ou de la ventilation garantissent une parfaite compréhension entre les pilotes, et donc une meilleure ambiance sur la piste.
Eviter de tirer la bourre avec quelqu'un qui veut juste dépasser et tourner seul... savoir laisser une marge suffisante pour parer aux éventuelles erreures... personnelles ou des autres.
Sur une piste, on peut distinguer 5 grands types de pilotes, indifféremment de leurs types de véhicules :
ï· Les bons : ils vont très vite, mais ne tenteront jamais de dépassement suicide. Ils savent que le meilleur moyen de dépasser est après la courbe, pas en entrée ou dedans.
ï· Ceux qui se croient bons : moins rapides que les bons, ils pensent que la piste leur appartient, et ne se privent pas de vous le rappeler à grand renfort de dépassement "au ras du rétro" parce que vous êtes sur "leur" trajectoire.
ï· L'essentiel de la meute : ils sont là pour se faire plaisir, et n'ont rien à se prouver. Ils n'hésitent pas à faire usage de leur clignotant pour se laisser dépasser par un "bon", qui ne manquera pas de le remercier... sinon, c'est juste qu'il se croit bon
ï· La première fois : il n'est jamais venu sur une piste... n'est pas vraiment assuré. En prenant soin de regarder dans son rétro, il évitera de gêner les autres, et se fera plaisir au bout de quelques tours de piste. Il a en général un sourire qui va d'une oreille à l'autre
ï· Le lourd : est un coktail de "celui qui se croit bon" et de "la première fois" : il est lent, et occupe la piste en vous faisant comprendre à chaque ligne droite, que même en rêve, vous ne passerez pas. S'il a une auto puissante, ça peut durer un moment... heureusement, ils sont rares...
Venir faire de la piste, c'est savoir qu'on va rencontrer ces 5 types de personnalit
LE PILOTE
C'est le pilote, et lui seul, qui va conditionner la réussite ou non d'une journée GTI.
En effet, c'est lui qui va juger de l'opportunité de tourner le jour J, en tenant compte des éléments suivants :
1. Sa forme du jour : un lendemain de fête risque de se révéler un peu difficile au volant...
2. L'état de l'auto : nous y reviendrons un peu plus loin. Mais le pilote est seul maître de sa décision : "tourner or not tourner"
3. Son moral : tourner alors que l'on est préoccupé par des soucis personnels, professionnels... n'est pas recommandé : irritabilité et nervosité seront certainement au programme... et le talus qui se rapproche très vite...
Il est préférable de garder à l'esprit que, même "expérimenté", un "Pilote du Dimanche" reste un amateur, et a besoin d'évoluer dans de bonnes conditions pour que tout se passe bien.
Inutile de tout compliquer avec une auto peu fiable... et un cerveau préoccupé par autre chose que les points d'entrée, de corde et de sortie du virage !
A EMPORTER AVEC SOI...
Pour le pilote, et ses passagers : de l'eau (beaucoup !), des biscuits secs... à éviter : les aliments lourds à digérer et les boissons gazeuses
Pour l'auto :
ï· De quoi refaire les niveaux sur place : huile (surtout), et en cas de pépin : liquide de refroidissement, liquide de freins...
ï· Une roue de secours en état, une croix, un cric qui marche
ï· Quelques outils, en cas de desserrage de batterie par exemple...
ï· Il n'y a pas de limite, l'idéal étant de venir avec un jeu de disques/ plaquettes déjà rôdé en cas de besoin... et pourquoi pas de louer les services de 5 mécanos pour l'assistance
L'AUTO
Il faut savoir qu'il n'y a nullement besoin d'être un pro de la mécanique pour s'amuser sur une piste.
ï· AVANT DE TOURNER
1. Vérification visuelle des pneus : pas d'hernie, pas de gomme arrachée...
2. Pression des pneus : en général, il est bon de sur gonfler de 200 grammes la pression "autoroute" préconisée pour l'auto
3. Niveaux : liquide de refroidissement (à froid), niveau d'huile (après au moins 15 mn à l'arrêt), liquide de freins...
4. Batterie : contrôler la fixation de la batterie (elle doit être parfaitement fixée) et veillez à protéger la borne "+" avec du chaterton ou une protection isolante (en cas de tonneau, cela évite les courts-circuits avec la tôle du capot, et limite de fait les risques d'incendies)
5. Extincteur : se munir d'un extincteur est une bonne idée... à condition que celui-ci soit parfaitement fixé (et ne se transforme pas en projectile à la première sortie de piste) et soit accessible par le pilote en cas de besoin...
ï· SUR LA PISTE
ï· L'idéal est de disposer d'une auto qui propose les indicateurs suivants : témoin d'usure des plaquettes, température d'eau, température d'huile, pression d'huile.
ï· LES TOURS DE CHAUFFE : 2 à 3 tours à allure modérée (mais pas à l'arrêt) pour que l'auto "prenne sa température" : moteur, boîte, freins et pneus
ï· A SURVEILLER : Pendant l'arsouille, le moteur, ainsi que les freins et pneus sont fortement sollicités...
ï· Moteur : Surveiller température d'eau et d'huile. En cas d'atteinte de la zone rouge : enchaîner plusieurs tours à bas régime, mais le plus vite possible (3 000 trs/min en 5° par exemple) jusqu'à ce que la température redescende. L'arrêt immédiat est ce qu'il y a de pire : puisque les zones de chaleur vont stagner dans le moteur.
ï· Freins : Les freins vont probablement faiblir à force d'attaques prolongées... C'est perceptible par l'allongement de la pédale, et quelques bruits sourds lors de freinages puissants. Les voitures lourdes (Subaru, BMW...) sont en général très exposées à ce problème d'endurance des freins, à l'inverse des autos légères (Lotus Elise, Caterham ...) et des Porsche, réputées pour la qualité de leur freinage. Lorsque les freins surchauffent, il faut, comme pour le moteur, faire plusieurs tours sans trop les solliciter, afin de leur permettre de se refroidir, et de récupérer leur efficacité
a+ ;-)
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