Japan Car

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Il n'y aura pas de suite aux Pajero et Lancer

La Lancer a déjà disparu du catalogue et le Pajero fait de la résistance, mais Mitsubishi a d'ores et déjà confirmé que ces deux autos mythiques du passé de la marque n'auront pas de descendance directe à l'avenir, la faute, notamment, à un manque de moyens et l'impossibilité de trouver un partenaire pour le développement.


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Mitsubishi a récemment fait disparaître une icône de son catalogue, à savoir la Lancer. La berline ne sera bientôt plus seule au chapitre des abandons puisque le patron de Mitsubishi, Osamu Masuko, a confirmé que le Pajero et la Lancer n'auront pas de descendance.

Le Pajero est toujours commercialisé en France à des tarifs tout de même assez élevés et il est aussi pénalisé par le plus fort malus (8 000 €) à cause de son gros quatre cylindres 3.2 diesel. Les normes environnementales toujours plus contraignantes vont donc avoir raison de ce franchisseur bien apprécié des adeptes du tout-terrain, et Masuka a bien expliqué qu'aucun remplaçant « direct » n'est au programme.

Mitsubishi a annoncé vouloir se concentrer sur les crossovers avec un modèle à venir intercalé entre l'Outlander et l'ASX.

Source Caradisiac
C est triste pour la Lancer !
+1 dommage pour une icône telle que la Lancer.
Ça n'est que le début ...
Mitsubishi : des systèmes de missile guidé pour ses futures voitures autonomes

Le constructeur Mitsubishi exploitera avec ses véhicules autonomes des avancées initialement développées par son département militaire pour l'armée japonaise. Un premier jet d'avancées illustrera la manœuvre l'année prochaine.


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Face à la concurrence, la firme aux diamants Mitsubishi peut paraître en retard du côté des voitures autonomes. Un officiel de la marque vient d'annoncer à nos confrères du média américain Bloomberg qu'il n'en est rien grâce à un atout non négligeable. L'Asiatique est doté d'un département militaire.

Mitsubishi Electric Corp : c'est le nom du fournisseur maison des missiles téléguidés de l'armée japonaise. La branche automobile prendra dans cette mine d'or des radars, des capteurs et des caméras. D'après l'ingénieur en chef Katsumi Adachi, "la seule chose qu'il reste à faire est d'adapter et de faire fonctionner ces technologies ensemble sur une auto". Le manager a ajouté "qu'aucun constructeur ne dispose en interne d'outils aussi variés que ceux de Mitsubishi".

Une première partie de cette stratégie prendra forme l'année prochaine sur une voiture de série avec du freinage automatique et un système de maintien de file. La suite débarquera un an plus tard avec une technologie de parking autonome. Seul ombre au tableau : le prix. Même si l'armée japonaise peut se payer ces systèmes, ils devront être compatibles avec les moyens de l'automobiliste. "La route est encore longue" a conclu Adachi.

Source Caradisiac
Ils suivent la tradition du premier avril comme nous les japonais ? Avec le décalage horaire ils y passent avant nous.
Mitsubishi avoue avoir triché

Décidément, les retombées de l'affaire Volkswagen semblent sans fin. Aujourd'hui, c'est Mitsubishi qui passe directement aux aveux en annonçant un point presse dans quelques heures sur "des irrégularités de tests d'émissions". Cela concernerait quelque 600 000 véhicules, la plupart de petits gabarits, et certains produits pour Nissan.


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Contrairement à Volkswagen, l'affaire est ici différente. "Mitsubishi est suspecté d'avoir manipulé les charges sur les pneumatiques pour que les résultats des tests d'homologation soient meilleurs".

Mitsubishi a annoncé que les véhicules concernés sont les eK Wagon et eK Space (des "kei cars" vendues au Japon) ainsi que les Dayz et Dayz Roox assemblées pour Nissan. Il ne s'agit donc en aucun cas de modèles européens ou américains, mais uniquement de véhicules destinés au marché japonais.

L'affaire Volkswagen a propulsé le groupe allemand dans une spirale compliquée où le géant se fait attaquer de toutes parts, notamment des Etats-Unis avec des procès qui se multiplient. Le trucage logiciel des moteurs était jusqu'ici une spécificité du groupe Volkswagen mais la donne change aujourd'hui puisque Mitsubishi annonce un point presse pour 17h00, heure locale (donc 9h00, demain, pour nous) pour annoncer des "irrégularités de tests d'émissions".
Selon les médias japonais, la présumée fraude concernerait plus de 600 000 véhicules de petits gabarits (150 000 Mitsubishi et 468 000 véhicules assemblés pour Nissan). Le constructeur nippon vient tout juste de présenter un point presse au Japon depuis le ministère des Transports et avec la présence du patron de la marque, Tetsuro Aikawa.

Mitsubishi a confirmé avoir découvert que certains employés avaient falsifié les données les données d'émissions polluantes des véhicules. La chose a été permise grâce à Nissan qui pointait apparemment du doigt des "inconsistances" dans les tests d'émissions de ses véhicules assemblés par Mitsubishi. Cela a ensuite conduit le constructeur à mener son enquête.
Il apparaît encore une fois étonnant que personne n'était au courant dans les rangs de Mitsubishi et que l'affaire ait été déclenchée au départ par un tiers, à savoir Nissan. L'action Mitsubishi s'est en tout cas effondrée en bourse avec une perte de plus de 16 % ce matin.

Source Caradisiac
Tests de consommations - Après 25 ans de triche, Mitsubishi met en place une commission d'enquête

Près d'une semaine après la révélation du scandale, lié à des tests de consommations manipulés, Mitsubishi avoue que la triche a commencé il y a 25 ans. Le groupe a annoncé la mise en place d'une commission d'enquête, composée d'experts externes à l'entreprise.


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Après la révélation, vient le temps des premières explications. Le groupe Mitsubishi Motors a confirmé ce matin lors d'une conférence de presse avoir mené des tests de consommations de manière inappropriée, non conforme à la législation en vigueur au pays du soleil levant, depuis 1991, afin de communiquer à la clientèle japonaise des valeurs de besoin en carburant plus favorables qu'elles ne l'étaient en réalité.
Mercredi dernier, Mitsubishi avait révélé avoir découvert que des employés avaient falsifié les données de plusieurs modèles, en utilisant les règles de mesures en vigueur aux États-Unis, différentes des japonaises. Il était question de plus de 600 000 petites autos, dont 468 000 produites pour le partenaire Nissan, à l'origine de l'affaire. Ce dernier avait constaté des écarts entre les chiffres annoncés et ses propres vérifications.

La liste des voitures concernées pourrait s'allonger

Aujourd'hui, Mitsubishi n'est pas en mesure de donner la liste précise des véhicules concernés, comme l'a indiqué Ryugo Nakao, vice-président du groupe. Le scandale pourrait s'étendre à d'autres productions de la marque aux trois diamants. Aucune information n'a été donnée à propos des autres pays où Mitsubishi est présent.
L'affaire n'en est qu'à ses débuts. Mitsubishi Motors a annoncé la création d'une commission d'enquête spéciale, composée d'experts qui n'appartiennent pas à l'entreprise. Celle-ci devra remettre son rapport d'ici trois mois. Celui-ci sera particulièrement attendu au Japon, où le scandale fait grand bruit. L'action du groupe a perdu la moitié de sa valeur à la Bourse de Tokyo en quelques jours.
Après Volkswagen, qui viendrait de trouver un accord avec les clients américains concernés par sa tricherie aux émissions polluantes, Mitsubishi s'apprête à son tour à passer des semaines difficiles.

Source Caradisiac
Mitsubishi joue sa survie : qui se paiera le diamant ?

L’actualité automobile se focalise sur les affres de Volkswagen aux conséquences collatérales sur l’ensemble de la production automobile carburant au diesel. Mais elle regarde moins le cas de Mitsubishi dont la même fraude sur les émissions polluantes a été révélée et semble durer depuis 25 ans. Une conjoncture qui n’a pas échappé en revanche aux autres constructeurs de voitures qui voit le cours de la marque au diamant chuter. L’occasion de s’offrir le bijou ?


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C’est la question qui se posera demain, lorsque la branche Motors du groupe Mitsubishi ne sera plus loin de boire le calice de sa fraude jusqu’à la lie. Pour le moment, les marchés sanctionnent, mais si la défiance perdure, il faudra penser à vendre. Pour certains, il faudra alors réfléchir à acquérir. Et ce serait une bonne affaire.
Car Mitsubishi, c’est la porte ouverte à de nouvelles capacités industrielles, à des parts de marché, à des plateformes et à des savoir-faire techniques qui ne peuvent laisser insensibles. C’est aussi les clés des marchés américains et africains grâce aux SUV et autres pickups. Et le sixième constructeur japonais pèse enfin sur le marché asiatique.
Alors qui pour rafler la mise ? Les experts penchent pour le français PSA Peugeot-Citroën. Les partenariats existent déjà pour certains modèles et une rumeur de rapprochement avait déjà eu cours en 2010. Sans doute, mais le lion est encore convalescent et n’a pas la moelle pour se lancer dans une opération estimée aujourd’hui à 3 milliards de dollars. Alors ? Alors, il faut encore attendre et espérer que la mise ne soit pas raflée par un blason indien ou chinois.

Source Caradisiac
C'est bien triste mais malheureusement Mitsu n'a pas les reins aussi solides que VW.

Leur gamme est également bancale aujourd'hui pour une diffusion mondiale efficace.
A voir si la branche automobile aura le soutien du groupe ou pas (ce n'est pas l'automobile qui fait vivre le groupe je crois chez Mitsu).
Mitsubishi : Nissan bientôt actionnaire majoritaire

Cela s’est fait quasi en catimini et entre Japonais. Alors que l’avenir de Mitsubishi était sur la sellette depuis la révélation d’une manipulation des tests portant sur la consommation de certains de ses véhicules, le constructeur nippon était dans la tourmente. Jusqu’à apparaître comme une proie pour ses concurrents prêts à mettre la main sur un blason aux perspectives intéressantes. Mais c’est Nissan qui a raflé la mise.


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Les constructeurs Nissan et Mitsubishi Motors ont donc décidé de se rapprocher. Un partenariat qui va prendre de l’ampleur, puisque déjà existant sur certaines petites voitures vendues dans l’Archipel, mais aussi une participation. Mitsubishi ouvre ainsi 34 % de son capital à son compatriote Nissan. Mitsubishi Motors explique qu'il va émettre à l'intention de Nissan 506,6 millions d'actions ordinaires ce qui correspond à 1,9 milliard d'euros. L'accord scellant la prise de participation par Nissan devrait être signé d'ici au 25 mai, pour une transaction qui doit être rendue effective en octobre.

Pour le reste, le groupe Mitsubishi Heavy Industries détiendra 20 % des actions. Mitsubishi possédera 10 % du groupe quand Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ en contrôlera 4 %. La prise de participation du groupe dirigé par Carlos Ghosn a été favorablement saluée par les marchés. Dès l’annonce le titre Mitsubishi progressait de 2,35 % à la bourse de Tokyo.

Les experts estiment que Nissan a saisi l’opportunité de s’offrir Mitsubishi Motors à un très bon prix puisque la valeur de l’action du constructeur a perdu plus de 40 % depuis la mi-avril. À terme, Nissan profitera du savoir-faire Mitsubishi dans le secteur des “kei cars” ou mini-voitures en vogue sur le marché nippon ainsi que de ses bonnes parts de marché en Asie du Sud-Est.

Pour autant, le redressement de Mitsubishi Motors s’annonce long et ardu pour le partenaire de Renault. Le scandale au sujet de la manipulation des données sur les valeurs des consommations concerne environ 625 000 mini-voitures assemblées, de marque à la fois Mitsubishi et Nissan, lié par contrat pour ce genre de véhicule. Une faute qui aurait cours depuis 1991 si bien qu’il ne faut pas exclure une vague d’actions légales contre le groupe. Des procédures susceptibles de menacer sa santé financière.

Source Caradisiac
Renault doit-il craindre Mitsubishi ?

Entre Nissan et Mitsubishi, ce ne sera donc plus jamais comme avant. Autrefois partenaires, les voilà à présent unis pour le meilleur et pour le pire à la faveur d’un accord permettant à Nissan d’apparaître comme l’actionnaire majoritaire de Mitsubishi. Une bonne affaire pour un Carlos Ghosn qui a su profiter d’une conjoncture difficile subie par la marque japonaise prise dans un scandale de manipulation des consommations de ses modèles. Certes, mais quid de Renault dans ce nouvel équilibre ?


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D’abord, la bonne nouvelle. Avec l’arrivée de Mitsubishi, ce sont un million de voitures qui s’ajoute à la masse de véhicules produite par un groupe à présent à quatre blasons. De fait, Nissan, Renault, Avtovaz et maintenant Mitsubishi sont un ensemble qui prétend à la quatrième place mondiale avec un potentiel de 10 millions de voitures par an. Le tout derrière General Motors, Toyota et Volkswagen.

Renault fait donc partie des grands et sera ainsi en mesure de répondre aux prochains défis technologiques grâce à une capacité d’investissement et financière certaine. Reste qu’au sein du groupe appelé Renault-Nissan, c’est bien ce dernier qui pèse le plus lourd. 5,4 millions de Nissan ont été vendus en 2015, contre 2,8 pour Renault. Et bien que détenteur de 43,4 % du capital de Nissan, le losange n'a pas eu son mot à dire sur l’acquisition de 34 % du capital de Mitsubishi.

En Bourse, les capitalisations des deux marques japonaises représentent un total de 40 milliards d'euros, contre 24 milliards pour le français. L’équilibre au sein du groupe dirigé par Carlos Ghosn est donc changé et d’aucuns pensent que sous la bonne affaire Mitsubishi se cache un nouvel épisode de la guerre opposant Carlos Ghosn à son actionnaire l'Etat français. Un conflit qui s’est déclaré lorsque l’Etat a décidé de monter de 15 % à 19,7 % sa participation au capital du groupe en avril 2015, en s'octroyant des droits de vote doubles. Avec l’arrivée de Mitsubishi, les centres de décisions pourraient basculer du côté du Japon.

Source Caradisiac
Mitsubishi : une perte de 1,2 milliard d'euros

Ce sont les premières conséquences du scandale des manipulations de données pour mieux embellir les performances énergétiques de certains modèles. Mitsubishi est entré dans la tourmente depuis le 20 avril dernier, date des révélations faites sur quatre modèles de ses mini-véhicules, dont deux fabriqués pour son partenaire Nissan. Un compatriote qui vole depuis à son secours.


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On rappellera en effet que Nissan va injecter des fonds pour prendre 34 % de son capital de Mitsubishi. Une intention cependant soumise à condition : celle que le scandale ne prenne pas des proportions incommensurables, du genre à discréditer totalement la marque. De fait, les conséquences chiffrées de l'événement sont regardées de près.

Les premières annonces arrivent et il ressort d’abord que le constructeur automobile japonais déplore ses premières pertes depuis huit ans. Cette perte sera de 1,2 milliard d’euros pour l’exercice 2016-2017. De même, Mitsubishi Motors a indiqué qu'il s'apprêtait à enregistrer une charge exceptionnelle d'au moins 420 millions d'euros pour dédommager les acheteurs japonais de véhicules dont les performances ont été viciées.

Il faudra enfin ajouter les indemnités à verser à Nissan ainsi que le coût de la suspension de la production des modèles de mini-voitures touchées par le scandale. Le groupe espère reprendre cependant leur commercialisation début juillet, une ambition affichée par le PDG de Mitsubishi Motors, Osamu Masuko.

Source Caradisiac
Mitsubishi doit suspendre la vente de huit modèles au Japon

Nouveau rebondissement dans l'affaire des chiffres de consommations embellis chez Mitsubishi. Après quatre citadines en avril, ce sont huit autres modèles qui sont concernés et dont la vente a été stoppée au Japon par le ministère des Transports.


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La vente de huit modèles Mitsubishi vient d'être suspendue au Japon. La décision a été prise par le ministère des Transports japonais. La cause : les consommations de carburant indiquées dans les brochures ont été sous-estimées.
L'enquête menée par le ministère a révélé que les consommations de ces huit autos étaient inférieures de 4,2 % en moyenne à celles réellement mesurées, avec un pic d'écart de 8,8 %. Les ventes des modèles concernés ne pourront reprendre qu'une fois les corrections effectuées, ce qui devrait prendre deux à trois semaines. Mitsubishi a déjà annoncé qu'il compte indemniser les acheteurs floués.

Premier scandale en avril

Cette enquête fait suite au scandale qui avait touché Mitsubishi au printemps. Le constructeur avait reconnu avoir mené des tests de consommations non conformes à la législation en vigueur dans l'Archipel, et ce depuis 1991. L'affaire touchait quatre modèles de mini-citadines, dont deux produites pour Nissan, ce qui représentait plus de 600 000 véhicules.
L'aveu avait fait plonger l'action de la marque en bourse. Mitsubishi a alors demandé une aide financière à Nissan, qui en a profité pour devenir actionnaire majoritaire, avec une participation de 34 % suite à une augmentation de capital réservée à Nissan (ce qui représente un investissement de près de deux milliards d'euros).
Avec la baisse des ventes et les indemnisations, Mitsubishi s'attend à avoir son prochain bilan financier dans le rouge, une première depuis huit ans. Il a estimé qu'il accuserait une perte nette supérieure à un milliard d'euros à la clôture de son exercice en mars 2017.

Source Caradisiac
Nouvelle alliance Nissan-Mitsubishi

Dans le rouge suite à une année difficile entachée par l'affaire du trucage des mesures de consommation sur ses véhicules, Mitsubishi a signé un accord d'alliance avec Nissan.

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C'est donc officiel : après 15 jours de négociations, Nissan devient l'actionnaire majoritaire de Mitsubishi Motor Co grâce à un rachat de 34% de ses parts pour 237 milliards de yens (2,1 milliards d'euros). Carlos Ghosn prendra d'ici la fin de l'année la tête du conseil d'administration de MMC, tandis que l'actuel PDG de la firme, Osamu Masuko, gardera le poste de directeur général exécutif.

Cette nouvelle alliance entre Mitsubishi et Nissan, et donc Renault, permettra très certainement au groupe d'atteindre le top 3 des constructeurs mondiaux et rendra possible un partage des technologies, des plateformes et des usines de production. Bonne nouvelle ou pas, chacun est libre de se faire sa propre idée, mais nul doute que certains ne seraient pas contre la production d'une Evo-GT-R !

Source Autoworks Blog
Carlos Ghosn confirmé comme président de Mitsubishi avec un salaire supplémentaire

Carlos Ghosn faisait déjà partie du Top mondial des patrons du secteur automobile les mieux payés, et avec la montée récente de Renault-Nissan au capital de Mitsubishi (à hauteur de 34 %), c'est une nouvelle prime qui arrive dans la besace du numéro un du groupe, qui vient d'être confirmé par le conseil d'administration comme nouveau président de Mitsubishi.


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Et de trois ! Carlos Ghosn enchaîne les titres importants, puisqu'après la présidence de Renault, Nissan ou encore Avtocaz, c'est désormais à la tête de Mitsubishi qu'il devra également travailler, comme vient de le confirmer l'assemblée extraordinaire organisée par les actionnaires de Mitsubishi, qui confient donc la gouvernance d'une marque en difficulté récemment à un maître du redressement.

"Merci pour votre approbation, je m'engage à défendre les profits des actionnaires et à œuvrer pour élever la croissance de l'entreprise à son maximum", a commenté Carlos Ghosn, qui ajoutera par la même occasion un troisième salaire à sa prime annuelle déjà coquette d'environ 17 millions d'euros (rappelons que tout ne lui est pas payé chaque année, puisque, dans le détail, une bonne partie de cette somme est liée à la performance de l'entreprise).

Le salaire annuel que devrait toucher Carlos Ghosn pour sa présidence chez Mitsubishi n'est pas encore connu mais il devrait lui permettre de se rapprocher encore un peu plus de l'intouchable américaine Mary Barra (General Motors), avec plus de 28 millions de dollars l'an dernier.

Source Caradisiac
(14-12-2016, 16:34:49)fefe hyundai a écrit : [ -> ]"Merci pour votre approbation, je m'engage à défendre les profits des actionnaires et à œuvrer pour élever la croissance de l'entreprise à son maximum"

Facepalm Facepalm Facepalm Rolleyes

En gros au programme :
- Licenciements massifs.
- Délocalisation.
- Des Mitsubishi qui vont ressembler à des Clio pour réduire les coûts de fabrication.
Plutôt à des qashqai, Mitsubishi a arrêté tout ce qui est citadines et berlines.
A des grosses Clio donc (cf. Captur qui est une Clio en plus gros, donc plus moche) LOL
Semarre
Mitsubishi sanctionné au Japon

Mitsubishi fait partie des marques automobiles qui ont été officiellement confondues pour avoir manipulé les résultats de leurs voitures afin de présenter de meilleurs rendements énergétiques. Une vertu face aux émissions polluantes qui s’est avérée spécieuse et au final commercialement désastreuse. Et même politiquement puisque, depuis, la marque aux diamants s’est fait happer par le groupe Renault-Nissan. Une affaire soulevée par le gouvernement japonais lui-même. La justice elle aussi japonaise a présenté sa facture : 3,9 millions d’euros.


[Image: S5-mitsubishi-sanctionne-au-japon-112475.jpg]

On ne rigole pas au Japon avec la tricherie. Peut-être moins qu’ailleurs. Mitsubishi, en tout cas, sert d’exemple pour nous dissuader de penser le contraire. Peu après le dieselgate initié par Volkswagen, Mistsubishi s’est retrouvé dans le collimateur du gouvernement japonais qui lui reprochait toute une série de tests de consommation de carburant biaisés, afin de présenter de meilleurs rendements énergétiques.

Un fait reconnu ainsi par le constructeur : « Mitsubishi a mené des tests de manière incorrecte afin de présenter de meilleurs rendements énergétiques que ceux existants effectivement, les méthodes de test étant différentes de celles requises par la loi japonaise ». Dans la gamme, ce sont les Outlander et les mini-voitures que sont les eK Wagon et eK Space, qui étaient d’abord mises en cause.

Mais d’autres modèles sont ensuite apparus, ce qui a fait plonger les actions du blason. Une situation analysée comme une opportunité d’acquisition par le groupe Renault-Nissan qui racheté 34 % de Mitsubishi, pour un montant de 2,1 milliards d'euros.

Un achat avec cette affaire comprise qui a suivi son cours. Au final, le Gouvernement a condamné la marque au diamant à une amende de 3,9 millions d’euros. A priori, un moindre mal.

Source Caradisiac
Mitsubishi voudrait relancer la Lancer Evolution !

La Lancer Evolution emprunterait des éléments à la Renault Mégane R.S.


[Image: mitsubishi-lancer-evolution-final-edition.jpg]

Souvenez-vous, dans les années 1990, Mitsubishi lançait la Lancer Evolution. Cette voiture de sport et de rallye a eu une assez longue carrière, qui s'est malheureusement soldée par un arrêt définitif de sa production. Depuis lors, Mitsubishi n'a pas précisé si sa sportive allait être relancée, ou enterrée à jamais. Si l'on en croit les médias japonais cités par Autocar, Mitsubishi s'apprêterait à redonner vie à la Lancer Evolution au cours des prochaines années.

Selon les premières informations, la Lancer Evolution, nouvelle génération, emprunterait des éléments à une voiture bien connue et plébiscitée en France, la Renault Mégane R.S. En effet, il se dit que la nouvelle génération de Lancer Evolution utilisera le moteur quatre cylindres couplé à une boîte de vitesses automatique ainsi qu'au système S-AWC, qui permet de transmettre toute la puissance du moteur aux quatre roues. La puissance de se bloc dépasserait la barre des 300 ch, grâce à l'apport de la micro-hybridation, entre autres.

Pour sa nouvelle génération, Mitsubishi pourrait bien collaborer avec Renault Sport, ou du moins, emprunter certaines de ses pièces comme indiqué un peu plus haut. Le projet de relancer la Lancer Evo n'est qu'à ses balbutiements, et prendra bien des années avant de voir la lumière du jour. Si le projet aboutit, la Lancer Evolution ne sera commercialisée que dans quelques années. D'ici là, les caractéristiques de la sportive pourront changer et évoluer. Nous reparlerons donc de la Lancer Evolution une fois que le constructeur nippon aura donné plus de détails.

Pour rappel, Mitsubishi fait partie de l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi. Même si les relations entre Renault et Nissan sont tendues depuis l'arrestation de Carlos Ghosn, Mitsubishi veut profiter de cette alliance pour poursuivre son rêve, celui de remettre un jour sur la route une nouvelle Lancer Evolution.

Source Motor1
Je n'y crois pas une seconde...
eux qui ont dit il y a peu qu'ils ne feraient plus jamais de sportive, ça me semble gros aussi
Le début de la fin pour Mitsubishi en Europe ?

La marque a annoncé le gel des lancements de nouveaux modèles sur le marché européen pour les prochaines années.


L'été est pour le moins agité du côté de chez Mitsubishi. En effet, la firme japonaise vient d'annoncer une série de mesures suite à la tenue du conseil d’administration du constructeur dans le cadre de son plan de rationalisation. Plusieurs décisions en ressortent dont une qui concerne le marché européen et qui n'augure rien de bon à court comme à moyen terme.

En effet, Mitsubishi a annoncé le gel du lancement de nouveaux modèles sur le Vieux Continent. Ainsi, sur les trois prochaines années au moins, il n'y aura pas de nouveaux modèles chez Mitsubishi en Europe. Une bien mauvaise nouvelle, d'autant plus que la firme japonaise devait inaugurer à la fin de l'année un nouveau SUV de segment C et, plus tard, un autre de segment D, tous les deux hybrides rechargeables avec donc un avenir pourtant prometteur sur nos routes.

Un avenir d'ores et déjà scellé en Europe ?

Autant dire que même si la communication de Mitsubishi en Europe se veut prudente, avec de si mauvaises nouvelles, il semblerait que l'Alliance ait déjà scellé le sort de Mitsubishi en Europe. En effet, le gel de l'arrivée de deux nouveaux produits, aussi importants qui plus est pour le marché européen, n'augure rien de bon. En lisant entre les lignes d'une manière plus globale, s'il n'y a pas de renouvellements, Mitsubishi devrait vraisemblablement quitter l'Europe d'ici les prochaines années et n'assurer qu'un service après-vente pour ses clients.

La marque indique, pour le moment, que "les ventes des modèles existants se poursuivront. En outre, le service après-vente sera maintenu". De ce fait, Mitsubishi devra donc encore compter quelques années sur le succès de son Outlander PHEV, précurseur dans sa catégorie certes, mais qui se retrouve aujourd'hui confronté à de très nombreux concurrents.

En d'autres termes, il semblerait que Mitsubishi suive le même schéma que la marque Infiniti l'année précédente, avec des produits plus forts certes, mais son avenir en Europe semble suivre le même chemin. Pourtant, le plan produit de la marque semblait plutôt ambitieux et en adéquation avec la demande européenne.

Devenir plus fort en Asie du Sud-Est

Sur l'ensemble de l'année 2020-2021, Mitsubishi prévoit une perte nette de 360 milliards de yens (soit environ 2,9 milliards d'euros). L'objectif du plan triennal voté par le conseil d'administration est donc de rationaliser les dépenses et améliorer la rentabilité. Mitsubishi va alors se concentrer sur les régions porteuses et des technologies en adéquation avec les objectifs fixés par le législateur.

La firme japonaise a aussi décidé de se recentrer sur ses marchés de prédilection, à commencer par l’Asie du Sud-Est, afin d’atteindre plus de 11 % de parts de marché à terme au sein de cette zone. Le conseil d'administration a statué également sur une réduction des coûts fixes dans cette région à travers l’optimisation des capacités de production et la fermeture de l’usine japonaise produisant le Pajero.

Toujours dans l'optique de proposer des modèles plus pertinents avec les attentes des clients et le respect des normes environnementales, Mitsubishi prévoit de lancer deux modèles électrifiés destinés à la région Asie du Sud-Est d'ici 2022.

Source Motor1