Japan Car

Nissan lance son service de colocation automobile : comment ça marche ?

Le japonais propose à des groupes de 2 à 5 personnes de partager une nouvelle Micra. Chacun paiera en fonction de son utilisation de la voiture.



Vous vivez en colocation. Et si en plus d'un logement, vous partagiez avec les mêmes personnes une voiture ? C'est l'idée de Nissan, qui propose le premier service de colocation automobile en France. Présenté début novembre par Carlos Ghosn, le service est désormais opérationnel.

De deux à cinq personnes peuvent partager une voiture. Il y a deux façons de former des groupes de « carlocataires » : soit vous en êtes à l'origine (avec des amis, de la famille, des collègues), soit Nissan vous aide à trouver des partenaires proches de chez vous. Le site Get&Go vous permet de renseigner plusieurs données, dont vos préférences d'utilisation hebdomadaires et votre budget, pour vous proposer le meilleur groupe possible.

Attention, il n'y a pas de choix pour la voiture. Il s'agit obligatoirement d'une nouvelle Micra, avec le moteur essence turbo de 90 ch. La finition est l'Acenta. Dans la liste des équipements, on trouve le freinage d'urgence intelligent, le système audio Bose ou encore l'écran tactile 7 pouces avec Apple Car Play. Les groupes peuvent choisir la couleur de l'auto, entre noir, orange et gris.

Après la livraison, tout se passe sur smartphone

Une fois la voiture récupérée, c'est 100 % numérique : une application mobile vous permet de gérer son utilisation, de la localiser (sauf pendant qu'une personne s'en sert pour éviter l'espionnage) et de dialoguer avec les carlocataires. La communauté partage de manière équitable le temps d'utilisation, avec un "compte temps". Il est possible d'acheter ou de revendre des heures à un autre. L'application fait de plus office de clé numérique pour accéder à l'habitacle.

Chaque mois, tous les carlocataires reçoivent une facture qui prend en compte le coût de la location, l'assurance et le carburant (une carte est fournie et évite d'avancer de l'argent). Nissan propose aussi une option place de parking. Chaque somme est calculée en fonction du nombre de kilomètres parcourus par le locataire. Le forfait de base prend en compte le nombre de personnes et le kilométrage envisagé. Son coût minimum est de 69 € par mois.

Pour pouvoir tenter l'expérience, il faut avoir plus de 21 ans et un an de permis. Pour l'instant, le système est en fonction à Paris et dans sa proche banlieue.

Source Caradisiac

Nissan : de nouveaux modèles Nismo à venir

Le monde de Nismo se résume aujourd'hui à trois modèles, dont un en fin de vie : la 370Z, la GT-R et le Juke. Le préparateur attitré de Nissan va toutefois avoir un champ d'action plus grand puisque Nissan a confirmé la venue dans le futur de nouveaux modèles.



En Europe, nous ne connaissons véritablement que trois modèles "Nismo" : le Juke, la GT-R et la 370Z. Il en existe pourtant d'autres à travers le monde, comme la berline Sentra aux Etats-Unis où encore le Patrol (si, si !) et même la Note. Nissan ne va pas s'arrêter en si bon chemin puisque la marque japonaise a confirmé que d'autres modèles sont à venir dans un futur relativement proche.

Pour l'instant, tout ceci reste flou mais il ne serait pas très étonnant d'avoir un Qashqai Nismo dans les années à venir tant le modèle a été cité par la rumeur. Nissan n'a en tout cas pas fait les choses à moitié puisque la marque a créé une nouvelle division baptisée "Nismo Cars business department" qui travaillera un peu plus étroitement avec le département compétition de Nissan.

En clair, l'avenir s'annonce un peu plus sportif pour Nissan et vu la réussite de la gamme performance chez Ford, on se dit qu'il reste encore de la place pour des véhicules de série sportifs chez un constructeur généraliste.

Source Caradisiac

Nissan dévoile un brouilleur pour empêcher l'usage du smartphone au volant

Les constructeurs sont les plus grands acteurs de la sécurité routière, largement devant les règles instaurées par les gouvernements, avec une sécurité des voitures en constante progression. Nissan dévoile justement de son côté un prototype de rangement qui bloque les ondes du portable pour éviter que l'on s'en serve en conduisant. Encore faut-il le vouloir.



Faites-vous partie de ces automobilistes qui utilisent le téléphone au volant ? Probablement, puisque le nombre de personnes en France qui se sert de cet outil numérique en conduisant est en très forte croissance. Evidemment, il est bon de rappeler que la distraction causée par la lecture de l'écran du smartphone est dangereuse et responsable de nombreux accidents ces dernières années, à tel point que la Sécurité routière commence à s'en inquiéter.

Les constructeurs ne sont pas en reste et Nissan dévoile un concept baptisé "Signal Shield" (bouclier de signal). Il s'agit d'un compartiment de rangement dans l'accoudoir qui est doté d'une cage bloquant le signal du téléphone (bluetooth, wifi et cellulaire). Mais pourquoi ce système alors que le conducteur peut simplement éteindre ou mettre son téléphone en mode avion ? Nissan répond que cela permet de donner un choix à l'automobiliste qui ne se sentira pas forcément obligé d'éteindre son appareil.

Ce dispositif n'a pour l'instant aucune date d'arrivée en commercialisation.

Source Caradisiac

C'est juste une cage de Faraday dans l'accoudoir ?

Nissan : 20 % des ventes en électrique d'ici 2020



L'annonce de Nicolas Hulot sur l'horizon 2040 a eu des effets du côté des constructeurs. Certains d'entre eux annoncent déjà leurs intentions sur l'avenir proche, comme Nissan, qui vient de confirmer que 20 % de ses ventes se feront en électrique en Europe d'ici 2020.

L'an dernier, Nissan a écoulé environ 23 000 véhicules électriques en Europe. Une belle performance compte tenu de la précocité du segment et des technologies qui évoluent lentement, mais Nissan s'est d'ores et déjà fixé un objectif très ambitieux pour 2020.

Le patron des véhicules électriques chez Nissan Europe a en effet confié à la presse que la marque nippone vise un chiffre ambitieux : 20 % de ses ventes totales en Europe se feront en électrique en 2020.

En clair, la part de marché de l'électrique chez Nissan sur le Vieux Continent devra être multipliée par 7 en trois ans seulement, et Nissan compte pour cela sur la nouvelle Leaf, qui sera présentée dans les prochaines semaines, mais aussi sur deux autres nouveautés électriques qui restent à découvrir.

Le but à atteindre nous paraît tout de même particulièrement ambitieux (trop ?), d'autant plus que les aides gouvernementales pour l'achat d'un véhicule électrique pourraient tout à fait être revues fortement à la baisse d'ici là.

Source Caradisiac

Nissan vous aide à ne rien oublier aux places arrière

Les voitures nous assistent de plus en plus : nous maintenir dans la ligne, nous dire si nous sommes fatigués, nous indiquer les panneaux de signalisation, nous ralentir si besoin et même nous informer si des choses ont été oubliées aux places arrière. Un système dévoilé par Nissan qui l'a baptisé "Rear door alert".



Il serait bien fâcheux d'oublier son enfant, son chien ou bien du matériel sensible à la chaleur aux places arrière lors de la sortie du véhicule. Même si cela prête à sourire, c'est pourtant en partie ce qui semble avoir motivé certains ingénieurs chez Nissan qui ont développé un dispositif permettant de signaler au conducteur de bien vérifier s'il n'y a rien à l'arrière.

Le dispositif repose sur des capteurs aux portes arrière. Si ces dernières sont ouvertes avant le démarrage de l'auto (indiquant ainsi que quelque chose a été déposé à l'arrière, potentiellement, en tout cas), l'ordinateur de bord enregistre l'information. A l'arrêt du véhicule, si les portes arrière ne sont pas ouvertes une nouvelle fois, le dispositif donne quelques coups de klaxon au conducteur qui a ainsi un moyen de se rappeler qu'il faut vérifier s'il n'y avait rien d'oublié.

Il est évidemment possible de ne pas tenir compte de l'alerte lorsque l'on est sûr de son coup en validant un message sur l'instrumentation au moment de quitter le véhicule et même de désactiver complètement le "Rear door alert". Ce système sera dans un premier temps proposé sur le Pathfinder.



Source Caradisiac

La future Nissan Silvia au Salon de Tokyo 2017 ?

C'est une rumeur qui revient régulièrement depuis quelques années : l'annonce du retour de la Silvia. Selon certaines sources, Nissan envisagerait bel et bien de présenter un concept au prochain Salon de Tokyo...



D'après le site d'information automobile japonais Response, cette fois serait la bonne. La Nissan Silvia ferait donc son retour en 2018 après 15 ans d'absence, et un concept serait présenté sous peu dans le cadre du prochain Salon de Tokyo. Bien sûr, aucun visuel officiel n'a été communiqué, mais on avance déjà une motorisation 4 cylindres essence de 2L turbocompressée. Vraisemblablement, ce moteur serait doté de la technologie VC-T (taux de compression variable) présentée à Paris en 2016 par Infiniti et dont les premières applications sont annoncées pour 2018, avec en tête de fil le futur SUV QX50. Est-ce trop beau pour être vrai ? Il ne nous reste plus qu'à patienter jusqu'en octobre pour être fixés !

Source Autoworks Blog

Nissan lance Nismo Heritage pour ses véhicules de collection

A la manière de certains constructeurs européens, Nissan annonce la création d'un programme spécial destiné à assurer le réapprovisionnement en pièces détachées de véhicules anciens de la marque. La Skyline GT-R R32 est le premier modèle à pouvoir en bénéficier.



Bonne nouvelle pour les propriétaires de Skyline GT-R R32 ! Grâce au programme Nismo Heritage qui verra le jour ce 1er décembre au Japon, ceux-ci vont bientôt pouvoir se fournir à nouveau en pièces détachées officielles ! Associant des entités comme Nissan, Nismo et Autech, cette division spéciale proposera à la vente pour son lancement une première sélection de 80 pièces refabriquées (faisceau électrique, durites, emblèmes, pièces de carrosserie...) selon le cahier des charges originel afin de faciliter l'entretien et la réparation des véhicules concernés. Si à ce jour seule la R32 GT-R est mise en avant par ce programme visant à sauvegarder le patrimoine sportif de la marque, les R33 et R34 devraient à l'avenir venir s'ajouter à la liste. Reste à savoir si cette initiative restera une exclusivité japonaise ou si elle sera étendue à d'autres marchés dans le monde.

Source Autoworks Blog

Nissan utilise une mini-station de lavage pour tester les peintures

Les passages fréquents des rouleaux de nettoyage et des jets haute pression peuvent endommager les vernis et peintures au fil du temps. Pour tester la qualité de ses peintures, Nissan a trouvé une idée originale aux Etats-Unis : une mini station de lavage pour modèle réduit.



Les constructeurs peuvent parfois redoubler d'imagination pour mettre à l'épreuve leurs véhicules. Nissan a notamment trouvé une solution originale pour tester la résistance des peintures des voitures neuves aux Etats-Unis. Si vous possédez une voiture, vous n'êtes probablement pas sans savoir que le lavage automatique, et particulièrement les rouleaux, s'ils sont de mauvaise qualité, peuvent être mauvais pour la peinture : microrayures, abrasion du vernis, ou, pire, éclats de peinture.

Nissan a donc développé aux Etats-Unis un mini centre de lavage automatique de la "taille d'une machine à pop-corn". Une référence qui parlera évidemment aux Américains. Nissan a conçu des balais tournant à 180 tours par minute, similaires à ce que l'on peut trouver en station de lavage.

La marque japonaise est même allée jusqu'à reproduire la poussière que l'on peut trouver dans certaines régions sèches, poussière évidemment abrasive. Nissan se sert ensuite de modèles réduits ayant le même type de peinture que les véritables autos Nissan pour vérifier si la peinture tient le choc.



Source Caradisiac

Les futures sportives de Nissan seraient électrifiées

L'hybridation est devenue incontournable.

Les constructeurs électrifient leur gamme afin que leurs voitures consomment moins de carburant et que les émissions de CO2 soient moins importantes. D'ici 2022, 40 % des Nissan vendues en Europe seront électrifiées selon Jean-Pierre Diernaz, responsable marketing au sein de la marque japonaise. Cette déclaration n'a vraiment rien de surprenant, l'électrification de la gamme semble un passage devenu obligatoire pour respecter les nouvelles normes.

Lors de son entretien avec nos confrères de Top Gear, Jean-Pierre Diernaz a fait une autre déclaration qui nous a interpellés : "Je ne vois pas l'électrification et les voitures de sport comme des technologies contradictoires". Autrement dit, Nissan n'électrifiera pas seulement le Juke ou le Qashqai pour ne citer qu'eux, il y a de fortes chances pour que les nouvelles Nissan GT-R (R36) et 370Z soient électrifiées !

Pour y parvenir, Nissan s'est lancé en Formule E : "C'est un grand défi pour les ingénieurs de travailler sur l'électrification dans le contexte de la course, de la vitesse et de la légèreté. Le fait que cela se passe en centre-ville change beaucoup de choses ; cela apporte un nouveau public qui deviendra fan de voitures de sport et d'électrification." a déclaré Jean-Pierre Diernaz. "C'est un travail en cours (NDLR : concernant le renouvellement de la GT-R et de la 370Z) ! Tout n'est pas confirmé en termes de dates. Les voitures de sport font partie de notre ADN, donc d'une façon ou d'une autre elles doivent être là." a-t-il ajouté.

Voilà qui est donc très clair, Nissan ne délaissera surtout pas ses sportives, bien au contraire, elles seront prochainement renouvelées et seront très certainement plus performantes. En ce qui concerne la GT-R, elle serait tout d'abord présentée sous forme de concept, avant d'être commercialisée en 2021 voire en 2022 (à confirmer).

Source Motor1

Nissan annonce la fin du 370Z Roadster sur certains marchés

Fin de la partie aux États-Unis pour le petit cabriolet sportif de la firme japonaise.



Plus le temps passe et plus les petites voitures plaisirs se font rares. Avant qu'elles reviennent, certainement avec un passager par la case hybridation ou électrique, certains modèles assez emblématiques disparaissent purement et simplement du catalogue. C'est le cas aux États-Unis de la Nissan 370Z Roadster qui, une fois n'est pas coutume, quitte un marché pourtant propice à ce genre de voiture, bien plus que le marché européen. Cependant, le couperet ne devrait pas tarder à tomber et le petit cabriolet nippon devrait disparaître d'ici quelques semaines du Vieux Continent également.

L'information nous provient du responsable américain de la communication produit de la marque. Ce dernier a confirmé que Nissan allait désormais se concentrer sur les versions Coupé, Nismo et 50th Anniversary de la 370Z. Même si l'Amérique du Nord reste globalement l'un, si ce n'est le plus gros marché mondial pour les cabriolets, le Nissan 370Z Roadster affichait des ventes assez confidentielles. La faute à une concurrence de plus en plus rude et un âge certain puisque, rappelons-le, le 370Z est commercialisé sur le marché américain depuis maintenant dix ans. Le nouveau BMW Z4 et l'Audi TT Roadster sont des concurrentes bien plus affutées, tandis que les incontournables Ford Mustang et Chevrolet Camaro Cabriolet font toujours recette.

Aux États-Unis, il fallait tabler sur un minimum de 41'280 dollars pour un 370Z Roadster quand la version Coupé s'affiche "seulement" à 29'000 dollars. Un gouffre financier séparait alors ces deux modèles. Concernant le marché français, le 370Z Roadster débute à partir de 39'900 euros et le Coupé à partir de 33'500 euros. Les deux sont assujettis au malus maximal de 10'500 euros. En 2018, en France, il s'est vendu 107 370Z, soit une baisse des ventes d'environ 25 % par rapport à 2017. Sur le Vieux Continent aussi, le petit Coupé nippon souffre d'une rude concurrence, allemande notamment.

https://fr.motor1.com/news/347726/nissan...dster-usa/

Le directeur général de Nissan est sur le point de quitter ses fonctions

Fin de partie pour Hiroto Saikawa.



Selon plusieurs médias japonais, le patron de Nissan, Hiroto Saikawa, est sur le point de quitter ses fonctions. La semaine dernière, il avouait avoir touché un trop-perçu dans sa rémunération. Les dessous de cette affaire seront connus à ce jour, le lundi 9 septembre, puisqu'un conseil d'administration se tiendra à Yokohama.

Il faut dire que depuis quelques mois, Hiroto Saikawa était sur le fil du rasoir. Les investisseurs comme Institutional Shareholder Services et Glass Lewis jugeaient que le dirigeant était trop proche de Carlos Ghosn, qui pour rappel, a été arrêté en novembre 2018 pour malversations financières.

Le nom du successeur d'Hiroto Saikawa n'a pas encore été évoqué, mais selon le journal Le Monde, le directeur d’exploitation de Nissan, Yasuhiro Yamauchi, pourrait assurer l’intérim en attendant de nommer un nouveau directeur général.

Selon plusieurs médias, l'actuel dirigeant de Nissan aurait touché près de 400'000 euros de manière litigieuse en 2013. Même s'il s'est excusé et qu'il s'est dit prêt à rendre l'argent encaissé de manière frauduleuse, Hiroto Saikawa a rejeté la faute sur le système mis en place sous Ghosn qui lui aurait bénéficié malgré lui. Toutefois, selon l'ancien bras droit de Carlos Ghosn, Greg Kelly, le patron de Nissan aurait tout de même volontairement différé de quelques jours la date d'exercice de ce bonus dénommé SAR (Share Appreciation Rights) afin de gonfler sa prime. Peu avant, l'action Nissan avait bondi de 10 %, ce qui aurait profité à Hiroto Saikawa.

Rien ne va plus comme avant

Depuis l'affaire Ghosn, Nissan a vu ses profits fondre comme neige au soleil. Le constructeur nippon a annoncé vouloir supprimer près de 12'500 postes et réduire sa production de 10 %. 6400 salariés ont déjà été licenciés en Espagne et en Indonésie. Pour faire face aux mauvais résultats financiers, Nissan se dit même prêt à fermer des lignes d'assemblage et des usines. Au cours du premier trimestre de l'exercice 2019-2020, le chiffre d'affaires de Nissan a baissé de 12,7 % et son bénéfice net a dégringolé de 95 %.

Source Motor1
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Carlos Ghosn - Des malversations estimées à 300 millions d'euros par Nissan

Nissan se dit prêt à lancer des procédures pour récupérer la somme.



Depuis l'arrestation de Carlos Ghosn en novembre 2018, Nissan a mené un audit interne dont les résultats viennent d'être révélés par le constructeur japonais. Carlos Ghosn et son bras droit, Greg Kelly, sont accusés de malversations financières. Selon Nissan, pour Ghosn, leur montant s'élèverait à 35 milliards de yens, soit près de 300 millions d'euros !

"Sur cette somme, 210 millions d'euros ont été déboursés par Nissan et 84 millions ont été provisionnés, mais non payés", a expliqué Motoo Nagai, responsable du comité d'audit.

Des irrégularités qui mettent à mal l'ex-patron

Selon le rapport, Carlos Ghosn voulait se voir verser des rémunérations différées lors de son départ. L'ancien patron aurait aussi utilisé les actifs de l'entreprise Nissan à des fins personnelles. Il aurait ainsi déboursé 27 millions de dollars pour acheter des résidences à Beyrouth (Liban) et à Rio de Janeiro (Brésil). Ghosn aurait aussi versé la somme de 750'000 dollars à sa sœur, pour un contrat de consultante totalement fictif selon les conclusions de Nissan. Enfin, le jet privé de la société aurait été utilisé par les enfants de Carlos Ghosn. Dans son rapport, Nissan se dit prêt à "engager toutes les procédures légales possibles" pour que Carlos Ghosn rembourse cette somme. Les avocats de M.Ghosn ont fait savoir que leur client continuera de combattre pour que justice soit faite.

D'autres responsables sont dans le viseur

Carlos Ghosn est loin d'être le seul haut responsable à profiter du système. Cette semaine, le patron de Nissan - Hiroto Saikawa - a annoncé sa démission. Il a reconnu avoir touché un bonus de 400'000 euros malgré lui, grâce au système mis en place par l'ancien patron, Carlos Ghosn. Selon Les Echos, "une demie-douzaine d'autres cadres pourraient ainsi être appelés à rendre des comptes devant les administrateurs".

Source Motor1

Les mecs sont énormes quand même

On croirait entendre Virenque sérieux...: "on m'a donné de l'argent à l'insu de mon plein gré!!"

Par contre genre, c'est vraiment lié à l'affaire Ghosn la chute de Nissan? Ca me paraît gros...

Je ne sais pas si ça a déjà été posté ici quelque part : "annonce" de la nouvelle Nissan Z.

Oui dans le sujet dédié

https://www.japancar.fr/forum/Sujet-CONC...pid2336324

Nissan retire le 370Z de son catalogue français

En fin de vie, le coupé sportif japonais sera prochainement remplacé par le 400Z.



Quelques semaines après le retrait de la version roadster du catalogue, c'est maintenant au tour du coupé, logiquement, de disparaître du carnet de commandes français. En effet, après plus d'une décennie de bons et loyaux services, la Nissan 370Z n'est plus disponible à la commande. La voiture reste toutefois disponible sur le site français de la marque à l'heure où nous écrivons ces lignes.

Si vous souhaitez vous offrir un 370Z, il vous restera donc seulement deux possibilités : écumer le réseau pour voir s'il reste un modèle neuf en stock ou bien se tourner vers un véhicule d'occasion. La première option devrait en rebuter plus d'un puisque la voiture est concernée depuis le début de l'année par le malus maximal de 20'000 euros en raison de rejets de 274 g/km de CO2.

Cette somme représente 59 % du prix d'achat neuf du modèle qui s'établissait jusqu'ici à 33'500 euros en France pour une version d'entrée de gamme. Si vous souhaitez faire venir un modèle neuf de l'étranger, la sentence sera la même puisque le malus de 20'000 euros sera applicable dès la première immatriculation en France.

Malgré la présence d'un ancestral V6 3,7 litres atmosphérique de 328 chevaux et 363 Nm de couple, les plus de 50'000 euros réclamés pour un véhicule neuf, qui plus est âgé de onze ans, sont aujourd'hui un obstacle. Bien évidemment, le 370Z Nismo de 344 chevaux et 371 Nm de couple n'est lui aussi plus disponible au catalogue.

Pour autant, cela ne signifie pas la fin du petit coupé sportif abordable chez Nissan. En effet, le 370Z sera remplacé d'ici quelques mois par un nouveau modèle, le 400Z, qui a d'ores et déjà été annoncé par la firme japonaise. La recette devrait être similaire à celle du 370Z, nous devrions retrouver un V6, mais de plus petite cylindrée cette fois-ci. On évoque environ 3,0 litres, des turbos et une puissance supérieure au 370Z.

Source Motor1

et toujours pas de petits coupé de l'ancienne gamme' S' au catalogue

6 cylindres... 3l...1 turbo (ou 2?)... C est une recette qui nous rappelle les Z des années 80 (puissance et couple seront differents, bien sûr)

Si votre Nissan sent bon, c'est grâce à ce monsieur

La marque japonaise emploie un maître des odeurs.



Vous aimez l'odeur de votre nouvelle Nissan ? Voici la personne chargée de mettre au point les odeurs à bord des Nissan.

Il s'agit de Ryunosuke Ino. C'est un "smellmaster", ou plus précisément, un expert technique de la qualité de l'air à l'intérieur des véhicules ou, oui, un ingénieur des odeurs. Bien qu'il reconnaisse que son travail n'est pas connu de beaucoup de gens, il fait partie intégrante de l'expérience agréable de votre nouvelle voiture.

https://fr.motor1.com/news/565624/nissan-charge-odeurs/

Dans la vidéo ci-dessus, Nissan nous montre de plus près comment Nissan ajuste l'odeur des voitures neuves. La vidéo est en japonais, mais vous pouvez activer le bouton "CC" pour lire les sous-titres et comprendre ce que c'est que d'être le maître des odeurs.



Être un "smellmaster" n'est pas une tâche facile. La préparation de Ryunosuke commence un jour avant, car il doit éviter de manger des aliments aux odeurs puissantes comme l'ail.

Une fois assis et dans la même position que le client, Ryunosuke vérifie chaque partie de la voiture. Il se concentre sur le pare-soleil, la boîte à gants et toutes les parties de la voiture qui s'ouvrent et se ferment, car elles peuvent retenir différentes odeurs. Il est également important de vérifier chaque composant, car les matériaux varient parfois à l'avant et à l'arrière.

Selon Ryunosuke, Nissan a fixé des normes élevées en ce qui concerne l'odeur des voitures neuves. Si jamais cette norme n'est pas respectée, il doit trouver l'origine de cette odeur, vérifier les informations fournies par le fournisseur et analyser les matériaux. Dans certains cas, le matériau doit être changé.

Ryunosuke peut définir la norme mondiale en matière d'odeur pour Nissan, mais elle peut encore varier d'une région à l'autre, en fonction des préférences des clients. Nous avons déjà rencontré Peter Karl Eastland, l'ingénieur en odeurs de Nissan Europe.

Avant de dire que n'importe qui peut faire le travail de Ryunosuke et d'Eastland, sachez que Nissan a un test de certification pour la reconnaissance des odeurs. Mais il faut bien avouer que c'est un job cool.

Source Motor1

Datsun, c'est officiellement terminé, Nissan cesse la production

Moins de dix ans après avoir été relancée sous l'impulsion de Carlos Ghosn, Datsun ferme de nouveau ses portes.



Le constructeur automobile japonais Nissan a annoncé lundi qu'il cessait de produire des véhicules Datsun, moins de dix ans après avoir relancé cette marque historique dans des marchés émergents sous l'impulsion de Carlos Ghosn, son grand patron à l'époque.

"Nissan se concentre sur des modèles et segments clés (...). La production de la Datsun redi-GO va s'arrêter dans l'usine de Chennai, en Inde", selon une déclaration de Nissan transmise à l'AFP.

Ce site était le dernier à produire des Datsun, Nissan ayant déjà cessé d'en produire en 2020 en Indonésie et en Russie à la suite d'un vaste plan de restructuration du groupe à l'échelle mondiale.

À peine quelque 7 000 unités de cette marque avaient été écoulées en 2021, a précisé à l'AFP une porte-parole du groupe. Les ventes vont se poursuivre jusqu'à l'épuisement des stocks et les services après-vente seront maintenus pour les véhicules en circulation, a ajouté Nissan dans son communiqué.

Nissan avait déjà enterré Datsun une première fois en 1981, avant que Carlos Ghosn ne décide en 2013 de la relancer comme marque à bas coûts dans des pays émergents, à la manière de Dacia chez Renault.

Après la chute de Carlos Ghosn fin 2018, poursuivi au Japon pour malversations financières présumées et qui a fui au Liban un an plus tard, les dirigeants de Nissan ont drastiquement recentré la stratégie du groupe sur ses marchés clés plutôt que de faire la course aux volumes.

Les origines de Datsun remontent aux années 1910 et son premier modèle avait été lancé en 1931. Deux ans après, la marque était rachetée par ce qui allait devenir Nissan. La marque avait connu ses grandes heures dans les années 1950-60, et avait vendu 20 millions de ses modèles dans 190 pays jusqu'à sa première disparition en 1981. (avec AFP)

Source Motor1

Je suis étonné que la marque aie tenu aussi longtemps, et encore plus dans le contexte actuel.

Nissan supprime 9 000 emplois et vend des actions Mitsubishi

Le PDG de la société japonaise, Makoto Uchida, a annoncé des réductions d'effectifs en raison de la baisse des ventes au cours du dernier trimestre.



La crise de l'industrie automobile n'épargne personne et atteint également le Japon. Le PDG de Nissan, Makoto Uchida, a annoncé lors d'une conférence de presse sur les résultats du dernier trimestre que l'entreprise s'apprêtait à réduire sa production et le nombre de ses employés. Parmi les autres décisions annoncées figure la vente de 10,02 % des actions de Mitsubishi Motors.

Une crise profonde, mais qui peut être résolue

Selon un rapport d'Automotive News Europe, le PDG du constructeur japonais a expliqué que la crise dans laquelle se trouve actuellement l'entreprise a été causée par les résultats des ventes de la dernière période, avec des chiffres en forte baisse par rapport au passé qui ont généré une chute de 85 % du bénéfice d'exploitation au cours du dernier trimestre.



Afin d'agir au plus vite, le numéro un de l'entreprise a annoncé la suppression de 9 000 emplois et des économies de l'ordre de 3 milliards de dollars.

Parallèlement, Guillaume Cartier, président de la région AMIEO (Afrique, Moyen-Orient, Inde, Europe et Océanie), voit ses responsabilités élargies avec le rôle supplémentaire de Chief Performance Officer (CPO) pour superviser les régions Japon/ASEAN, AMIEO et Amériques, ainsi que les ventes et l'après-vente au niveau mondial.



Globalement, l'objectif d'Uchida, lit-on dans Automotive News Europe, est de réduire les coûts fixes de 300 milliards de yens (soit 2,12 milliards de dollars) et les coûts variables de 100 milliards de yens (703,2 millions de dollars), par rapport à l'année fiscale se terminant le 31 mars, conformément à la loi japonaise.

Vente d'actions Mitsubishi

Nissan vendra un maximum de 149 028 300 actions (environ 10,02 % de Mitsubishi Motors Corporation, MMC) au prix de clôture d'aujourd'hui (y compris la cotation spéciale finale) de 460,6 yens par l'intermédiaire du marché de rachat d'actions de gré à gré de la Bourse de Tokyo à 8 h 45 le 8 novembre 2024.

"Cette transaction soutiendra la stratégie de gestion de MMC et améliorera la flexibilité financière de Nissan, ouvrant la voie à de futures opportunités de croissance", indique le communiqué de Nissan. "Nissan et MMC poursuivront leurs efforts de collaboration afin de stimuler l'innovation et d'offrir une valeur exceptionnelle à leurs parties prenantes. Ensemble, les entreprises de l'Alliance sont activement engagées dans des projets de création de valeur qui répondent aux tendances évolutives de l'industrie."

Source Motor1