Japan Car

Nissan sur le point d'attaquer un parti pro Brexit

La division anglaise du constructeur Nissan s'apprête à poursuivre en justice les acteurs de la campagne pro Brexit "Vote Leave". Même si le nom du mouvement porte un slogan proche du label de la voiture électrique Leaf, la firme compte attaquer contre l'utilisation sans autorisation de son logo sur un prospectus parlant des salariés de l'entreprise japonaise.



Le référendum du Brexit définira dans deux jours si le Royaume-Uni reste ou non dans l'Union Européenne. En attendant le vote, les partis politiques s'affrontent pour convaincre les citoyens d'aller aux urnes pour quitter ou non l'EU. Les enjeux économiques sont importants. Le mouvement "Vote Leave" n'hésite pas à mettre en avant des marques -dont Toyota, Vauxhall, Airbus et Nissan- pour appuyer son discours pro Brexit. La firme de Carlos Ghosn n'a pas apprécié. Elle s'apprête à lancer des procédures en justice.

Le nom "Vote Leave" peut évoquer la compacte électrique Nissan Leaf mais ce n'est pas pour cette raison que les dirigeants du constructeur sont en colère. Ils reprochent aux acteurs de cette campagne l'utilisation sans autorisation du logo de l'entreprise. Le document indique que les marques automobiles locales ont promis de rester en Angleterre quel que soit le résultat du référendum.

Nissan profite de cette histoire pour indiquer à tous ses salariés et actionnaires que "la marque préfère que l'Angleterre reste dans l'Union Européenne". La firme a également ajouté que "tous les moyens légaux seront mis en œuvre pour faire retirer le logo de la campagne Vote Leave". Rendez-vous dans deux jours pour découvrir si les Anglais sont pour ou contre le Brexit.

Source Caradisiac

Renault-Nissan : l'alliance réalise d'énormes économies

L'alliance Renault-Nissan est aujourd'hui tentaculaire avec des partenariats importants (Daimler, Mitsubishi...) et des montées au capital conséquentes, notamment en Russie avec Avtovaz. Le groupe est également très important au niveau mondial avec 10 % du total des ventes d'automobiles à travers le globe. Un "exploit" rendu possible en une courte période grâce à la synergie et aux partages entre Renault et Nissan, qui ont permis de réaliser 4,3 milliards d'euros d'économie en 2015, un record qui donne de l'avance à l'alliance.



L'alliance Renault-Nissan est une aventure qui dure depuis 1999, et en seulement dix-sept ans, le groupe est aujourd'hui dans le Top 3 mondial des ventes automobiles avec 10 % de parts de marché, une progression énorme pour une alliance qui donne des économies d'échelle très importantes pour la marque française et le japonais.

Renault annonce en effet que l'effet de groupe et les partages ont permis de réaliser quelque 4,3 milliards d'euros d'économies en 2015, soit une progression de 13 % par rapport à l'exercice précédent. L'alliance a donc un an d'avance sur l'échéance initiale et Renault et Nissan visent désormais les 5,5 milliards d'économie pour 2018.

Rappelons que les partages en tout genre se sont accélérés ces dernières années entre Renault et Nissan : plateforme CMF pour de nombreux véhicules de l'alliance, production d'autos Nissan par Renault (la nouvelle Micra, notamment), et vice-versa. La prochaine étape concerne le développement des autos électriques et autonomes qui sera une nouvelle fois un fort partage entre les deux géants de l'automobile.

Source Caradisiac

Nissan a vendu un véhicule à distance en utilisant Twitter

Le petit oiseau bleu peut servir à autre chose que donner un avis sur une émission de télé-réalité ou un match de foot. La preuve avec Nissan, premier constructeur qui a vendu une voiture en échangeant avec le futur acheteur uniquement via Twitter.



Selon Nissan, en moyenne, les clients ne viennent plus qu'une fois en concession avant d'acheter une nouvelle voiture, contre six il y a dix ans. À ce rythme, va-t-on bientôt commander une auto sans jamais se rendre physiquement dans un espace de vente ? Pour l'instant, c'est difficilement imaginable… mais c'est possible. Rien ne vous empêche de tout gérer par téléphone, courrier ou mail avec votre vendeur pour devenir propriétaire d'un nouveau véhicule.

Un Espagnol est allé un peu plus loin dans l'idée : il a voulu tout gérer uniquement via Twitter, de la recherche à la décision d'achat finale. Raul Escolano a d'abord utilisé un hashtag : #compraruncocheportwitter, que l'on peut traduire par "Acheter une voiture sur Twitter". Il a alors mis au défi les constructeurs pour l'aider à trouver une nouvelle voiture en n'utilisant que le réseau social.

Un vote pour choisir l'auto

Un concessionnaire Nissan a relevé le challenge, en faisant une petite entorse à Twitter pour vanter les mérites du SUV familial X-Trail. C'est en effet grâce à Periscope, une autre application mobile qui permet de faire un échange en vidéo, que le véhicule et ses équipements ont été présentés à Raul Escolano.

Le client a alors sollicité ses followers. Ceux-ci ont été invités à voter sur Twitter pour désigner le modèle qu'ils préféraient, entre le X-Trail, le Toyota Verso et le Volkswagen Touran. Au final, le Nissan est sorti largement vainqueur, avec 43 % des votes. L'achat a donc pu être finalisé avec l'envoi des clés… par coursier. Raul a récupéré son X-Trail au siège de Nissan Espagne, où il a rencontré pour la première fois physiquement du personnel de la firme japonaise !

Source Caradisiac

Ils sont trop de le futur ces japonnais

Nissan ProPilot : la conduite autonome sur autoroute

Nissan travaille comme bon nombre de constructeurs sur la conduite autonome et la marque japonaise dévoile aujourd'hui ses travaux avec une auto capable de se gérer seule sur autoroute, uniquement. Pour l'instant, le développement de la technologie de Nissan ne s'apparente qu'à un mix des technologies déjà disponibles actuellement, comme le régulateur adaptatif, le freinage d'urgence et le maintien dans la voie.



La conduite autonome occupe les esprits actuellement, et l'accident mortel provoqué par le système AutoPilot de Tesla a été comme une sorte de retour à la réalité pour ceux qui faisaient aveuglément confiance en la machine. La piqûre de rappel est donc sévère : non, l'ordinateur n'est pas capable de tout faire à l'heure actuelle et si le système paraît déjà au point à première vue, il faut bien se rappeler que le développement est en cours et que la conduite autonome est en évolution perpétuelle.

Chez Nissan, on croit en la conduite autonome mais pour l'instant, elle se limite à l'autoroute, à l'image du système de Tesla. Le Nissan ProPilot vient d'être dévoilé et il permet à une auto de se gérer seule sur voie rapide, à savoir maintien dans la voie, y compris en virage, respect de la distance de sécurité avec l'auto qui précède, et régulation de la vitesse.

En clair, rien d'extraordinaire puisque ces technologies combinées, rendues possibles par la présence de caméras, sont un mélange de ce qui existe déjà, comme le freinage d'urgence et le régulateur adaptatif. Le système ProPilot débarquera l'an prochain en Europe sur le restylage du Qashqai. La marque nippone annonce que la prochaine version du ProPilot (gestion du trafic urbain et des intersections, notamment) arrivera en 2020. Tout comme Volvo, Nissan vise zéro mort sur les routes pour ses véhicules, un pari qui paraît à l'heure actuelle très ambitieux.

Source Caradisiac

Nissan : un prototype de Leaf à l'autonomie doublée

Nissan propose actuellement deux versions de la Leaf avec des batteries de 24 et 30 kWh, pour une autonomie variable (et un tarif qui l'est aussi). La marque nippone reste dans la moyenne de ce qu'il se fait actuellement sur une compacte électrique mais ses ingénieurs ont développé un prototype spécial de Leaf avec des batteries de 48 kWh, pour une autonomie doublée. Une production n'est malheureusement pas prévue.



L'autonomie reste un défi majeur pour la voiture électrique, et mis à part insérer des batteries plus puissantes et plus importantes, il n'y a pas de vraie solution avant-gardiste à l'heure actuelle pour gagner de précieux kilomètres. Tesla l'a bien compris avec sa gamme organisée autour de différentes versions qui changent uniquement par la capacité des batteries.

Nissan a fait de même récemment lors de la présentation de la Leaf 30 kWh, qui donne 6 kWh de plus que la Leaf de base et, dans la théorie, une autonomie qui passe de 200 à 250 km. Evidemment, dans la pratique, nous sommes toujours un peu en deçà de ces chiffres, signe qu'il reste de gros progrès à faire pour la voiture branchée, quelle que soit sa provenance.

Aujourd'hui, Nissan nous annonce la création d'un prototype de Leaf à batteries de 48 kWh, ce qui donne une autonomie doublée par rapport à la version de base, soit grosso modo 400 km. Malheureusement, Nissan annonce qu'il "n'est pas question" de la mettre en production. Cette Leaf un peu spéciale participe au ECOseries, une course mettant en scène, vous l'aurez deviné, des autos électriques.

Source Caradisiac

Nissan fait rouler une inédite pile à combustible fonctionnant à l'éthanol

Souvenez-vous, il n'y a pas si longtemps, nous évoquions le développement d'une pile à combustible un peu spéciale par Nissan qui a travaillé sur un système fonctionnant non pas à l'hydrogène, mais à l'éthanol. Ceci n'est pas un simple outil de laboratoire puisque Nissan a fait rouler un prototype de e-NV200 équipé de cette pile à combustible. Sur le papier, les données sont plutôt intéressantes.



Nous abordons de temps en temps le thème de la pile à combustible sur Caradisiac, mais il faut savoir que cette technologique, qui repose sur les réactions chimiques entre un combustible et une électrode, réaction qui produit des échanges d'ions créant un courant électrique, ne fonctionne pas toujours à l'hydrogène. Bien qu'il s'agisse d'un grand classique de la pile à combustible, d'autres voient peuvent être suivies et c'est ce qu'a fait Nissan avec une inédite pile à combustible fonctionnant à l'éthanol.

Le prototype, qui repose sur un e-NV200 (l'utilitaire électrique de la marque), dispose des batteries 24 kWh de l'auto de base et d'une pile à combustible qui sert en fait à recharger les batteries. Une sorte de prolongateur d'autonomie (avec 30 litres de carburant), donc, qui permet de porter cette autonomie totale à 600 km, contre seulement un peu moins de 200 km pour le modèle de série électrique.

Les avantages sont nombreux avec cette pile à combustible : le stockage du carburant ne nécessite pas de réservoir particulier, contrairement à l'hydrogène, et l'éthanol est bien plus facile à produire que l'hydrogène. De plus, le réseau de distribution dispose déjà d'E85, ce serait donc relativement facile d'adapter les infrastructures. Enfin, le dernier avantage est probablement l'un des plus importants pour Nissan : l'adaptation d'une pile à combustible se révèle finalement très facile puisqu'il ne s'agit que d'un "petit plus" pour les modèles électriques déjà existants. On se met donc déjà à espérer une Leaf ou un e-NV200 de série avec cette technologie.

Source Caradisiac

Nissan : 250 millions de dollars pour être sponsor majeur des JO 2016

Souvent critiqué pour ses rémunérations et sa façon de gérer ses entreprises, Carlos Ghosn n'en reste pas moins un redoutable capitaine, et les chiffres récents de Nissan ou de Renault démontrent la pertinence des investissements. En parlant d'investissement, Nissan a dépensé pas moins de 250 millions de dollars pour être le sponsor officiel des JO 2016, la marque nippone misant beaucoup sur le rebond du marché brésilien.



Carlos Ghosn a porté la flamme olympique lors de l'ouverture de ces JO, et il faut dire que c'était tout un symbole, pour lui, qui est né dans le Nord-Ouest du Brésil et qui garde donc ses racines sur place. Evidemment, le développement de l'une de ses marques dans ce pays est également très importante, et alors que Renault est déjà plutôt bien implanté, c'est au tour de Nissan de tenter l'aventure avec l'arrivée du Kicks, très largement médiatisé au Brésil depuis sa présentation et qui pourrait donner un beau succès commercial.

Le marché brésilien s'étant un peu effondré ces derniers mois, Carlos Ghosn estime qu'il "n'est pas loin du fond" et que, donc, le rebond est lui aussi tout proche. C'est le bon moment pour Nissan d'investir sur place avec la production du Kicks qui, selon Carlos Ghosn, pourrait permettre à Renault-Nissan de faire grandir leur part de marché de 50 % en Amérique Latine.

En attendant, Nissan investit lourdement, et espère des retours sur ces investissements. A commencer par ces Jeux Olympiques, où Nissan a déboursé 250 millions de dollars pour être le sponsor majeur officiel, et pour que les Kicks soient à l'écran. Une belle médiatisation, mais espérons pour Nissan que tous ces efforts seront payants.

Source Caradisiac

J'ai de la peine à comprendre des sommes aussi importantes pour des affiches et des coups de pubs sur des écrans.

Si j'ai eu envie d'une Toyota comme première voiture c'est pas grâce à une affiche que j'aurais vu à quelque part

M'enfin si ils le font c'est qu'ils doivent être gagnant mais j'ai de la peine à voir où

Nissan annonce que le SUV sera la meilleure vente en Europe d'ici deux ans

J'imagine qu'il n'est pas nécessaire de vous rappeler à quel point le SUV est la voiture en vogue aujourd'hui, à tel point que des marques qui n'avaient aucun intérêt dans ce véhicule s'y lancent désormais, comme Bentley ou Lamborghini. Chez Nissan, en tout cas, on croit dur comme fer au succès dans le temps du SUV qui dépassera tous les autres segments en Europe dès 2020.



Il est évident qu'aujourd'hui, tout particulièrement pour des marques généralistes et premium, le SUV est un élément incontournable. On l'a vu, cela a notamment été un manque pour Volkswagen et ses galaxies et Seat qui débarquent à peine dans la catégorie, mais pour d'autres, le SUV est comme une deuxième nature. C'est le cas, entre autres, de Nissan qui avait popularisé le SUV de poche avec le Juke et largement réussie la sortie commerciale du Qashqai.

Le patron de Nissan Europe, le Français Guillaume Cartier, annonce à Automotive News que le SUV dépassera tous les autres segments en termes de volumes et de parts de marché d'ici un à deux ans. Le SUV sera donc la meilleure vente en Europe, devant les compactes, les berlines, les citadines ou encore les breaks. C'est en tout cas ce que prévoit Nissan, qui a évidemment un gros coup à jouer avec sa gamme composée des Juke, Qashqai et X-Trail, qui représentent tout de même 70 % des ventes totales de Nissan en Europe.

Un tel chiffre montre à lui seul le boom énorme des SUV sur ces dernières années, et si cela ne suffisait pas, il n'y a qu'à se promener dans les allées d'un salon européen aujourd'hui pour se rendre compte de l'importance du SUV. Et si vous devez trouver un stand d'un constructeur majeur qui ne présente pas de SUV : je vous souhaite bonne chance.

Source Caradisiac

La première citadine autonome pourrait être une Nissan

Si l'on écarte des acteurs comme Google ou Tesla, Nissan est probablement l'un des constructeurs majeurs les plus actifs dans la recherche sur la voiture autonome. Avec son programme ProPilot, Nissan espère proposer une conduite 100 % autonome dans toute situation à l'aube de la nouvelle décennie. Et la Micra pourrait en profiter plus rapidement qu'on ne le pense.



Nissan se dit expert de la conduite autonome aujourd'hui et à juste titre puisque la marque nippone travaille sur des assistants à la conduite depuis le début des années 90, époque à laquelle Nissan avait proposé le premier "régulateur intelligent" sur la Primera. Depuis, Nissan suit la tendance actuelle qui veut que la technologie doit prendre le pas sur la main de l'homme (alerte fatigue, franchissement de ligne, collision, caméras en tout genre...), et l'industriel nippon pourrait être le premier à proposer une citadine 100 % autonome sur le marché.

En effet, selon Nissan, le principal frein aujourd'hui à l'adoption des technologies du programme ProPilot de Nissan par les citadines est le fait que ces autos sont souvent vendues en boîte manuelle (une transmission incompatible avec la conduite autonome) et que le principal critère d'achat est le prix. Mais alors que le Qashqai va incorporer en plusieurs phases (2017 pour l'autonomie sur voie rapide puis 2020 pour l'autonomie en zone urbaine) les technologies de ProPilot, la Micra pourrait, elle, avoir également droit à ce contenu d'ici dix ans maximum.

Elle pourrait alors devenir la première citadine d'un constructeur généraliste à disposer d'une conduite 100 % autonome. Mais avant cela, il faudra que les clients acceptent de se débarrasser de la boîte manuelle...

Source Caradisiac

JO 2016 : une Nissan Leaf en or pour les médaillés anglais

Nissan profite cette année de l'engouement pour les Jeux Olympiques en dévoilant le petit crossover Kicks destiné au marché sud américain et en étant partenaire officiel, moyennant une forte somme. La marque nippone, fortement implantée au Royaume-Uni, va également féliciter à sa manière les médaillés d'or britanniques des JO avec un Leaf couverte d'une peinture dorée.



Nissan, comme bon nombre d'autres constructeurs, aime le sport et fait parfois quelques coups d'éclat pour se faire une bonne pub. Ce fut notamment le cas lorsque Nissan proposa à la vente aux enchères une GT-R dorée faite à l'honneur d'Usain Bolt, les fonds de la vente ayant été remis à la fondation de l'athlète. Plus récemment, on retrouve Nissan aux avant-postes aux JO 2016 avec une forte présence à l'écran grâce à ses véhicules et plus particulièrement son nouveau crossover Kicks, le partenariat ayant tout de même coûté 250 millions de dollars à Nissan.

Aujourd'hui, Nissan nous apprend que chaque médaillé d'or britannique des Jeux Olympiques se verra offrir à son retour une Leaf dorée en récompense. Le gymnaste Max Whitlock est le premier à avoir droit à son électrique toute d'or vêtue, et autant dire que Nissan a du boulot puisque ce sont déjà 16 médailles d'or que compte la délégation anglaise à Rio.

Rappelons que la Leaf est présente sur le marché depuis plus de six ans et que la remplaçante n'est pas prévue avant de nombreux mois. C'est donc une bonne manière de capitaliser sur l'électrique maison en la remettant sur la scène médiatique.

Source Caradisiac

Je croyais que les peintures réfléchissantes étaient interdites.
Remarque, les anglais n'ont pas les mêmes lois, et pour éblouir les autres usages en reflétant le soleil il faudrait déjà qu'ils en aient

Renault-Nissan et Microsoft main dans la main pour la voiture connectée

Décidément, Renault fait feu de tout bois en ce moment. Après avoir annoncé un partenariat avec l'école Centrale de Nantes pour les motorisations électriques du futur, voilà que l'alliance Renault-nissan dévoile cette fois une collaboration avec le géant de l'informatique, Microsoft, pour la voiture connectée.



La voiture est déjà ultra-connectée, et je ne vous parle même pas des modèles haut de gamme qui sont déjà branchés à la sphère virtuelle depuis bien longtemps. Non, aujourd'hui, même une simple Dacia est connectée, un mot qui revient sans cesse dans les présentations presse et les communiqués des constructeurs, apparemment de plus en plus obnubilés par la capacité de leurs autos à communiquer plus.

Renault et Nissan font partie de ces marques qui misent sur la connectivité, et cette caractéristique sera accentuée dans le futur grâce à un partenariat signé avec le géant Microsoft. "Ce partenariat avec Microsoft nous permet d’accélérer le développement des technologies clés indispensables pour réaliser les scénarios que veulent nos clients et en bâtir de nouveaux, inédits, qu’ils n’imaginent même pas. Notre ambition est de devenir le fournisseur de la mobilité connectée pour tous, avec une seule plateforme mondiale", a commenté le patron des véhicules connectés de l'alliance.

Renault et Nissan entendent travailler sur de nombreux points comme la productivité, la mise à jour en temps réel (comme cela se fait chez Tesla, par exemple), le contrôle du véhicule à distance ou encore la protection du véhicule par tracking. Espérons, bien sûr, que les constructeurs n'oublieront pas de placer en haut de leur liste la sécurité des communications, sans quoi le piratage informatique des véhicules pourrait devenir un sport national dans les années à venir.

Source Caradisiac

Brexit : Nissan pourrait ne plus produire le Juke en Angleterre

Tous les Nissan Juke d'Europe sont assemblés de l'autre côté de la Manche, du côté de Sunderland. Un problème se pose toutefois pour Nissan qui doit faire face au Brexit, qui sera effectif dès le mois de mars prochain. Le constructeur japonais réfléchit à la suite des événements : le Juke pourrait ne plus être produit en Angleterre.



Nissan fait face à un sérieux problème avec le Brexit. En effet, l'Angleterre va sortir de l'Union Européenne et le constructeur japonais, tout comme BMW avec Mini ou Honda, devra probablement payer des taxes pour exporter ses autos produites sur le sol anglais vers l'Europe. Un prix que n'est pas prêt à payer Nissan qui se penche actuellement sur la production du Juke, le crossover phare de la marque qui est assemblé au Royaume-Uni et exporté actuellement vers toute l'Europe.

Malheureusement, Nissan n'a pas encore toutes les cartes en main puisque la situation n'est pas encore claire. L'Angleterre ne sortira officiellement de l'Europe qu'en mars prochain et le gouvernement britannique annonce qu'il faudra "deux à trois ans" pour que tout se mette en place. Trop long, beaucoup trop long pour Nissan qui doit déjà réfléchir à une décision : faut-il investir dans l'usine anglaise de Sunderland et conserver la production du Juke ou bien réfléchir à un autre endroit, d'autant plus que la nouvelle génération de Juke arrive en 2018 ?

Nissan ne devrait pas importer de Juke du Japon, le coût étant trop prohibitif. L'exportation de la production de l'Angleterre vers un pays européen est en revanche plausible si les taxes à l'export venaient à être trop importantes. Auquel cas le Royaume-Uni perdrait un paquet d'emplois. Et c'est d'ailleurs là que se joue la bataille, presque plus "sociale" que financière.

Source Caradisiac

Le Nissan Note passe à la trappe

Début 2017, Nissan cessera de produire en Europe le Note. Ce modèle, qui hésite entre citadine et petit monospace, ne sera alors plus vendu chez nous. En cause : l'arrivée d'une nouvelle Micra, plus grande et plus polyvalente.



Les jours sont comptés pour le Note. Nissan mettra un terme à la production de ce modèle dans son usine de Sunderland (Royaume-Uni) au printemps prochain. Le Note sera toujours assemblé au Japon et au Mexique, mais la marque n'a pas l'intention de faire des importations. Le Note sera donc retiré du catalogue européen. Deux raisons expliquent cette décision.

La première : de faibles volumes de ventes. Sur les huit premiers mois de l'année, seulement 24 800 Note ont été fabriqués à Sunderland, contre 33 038 sur la période équivalente de 2015. Le Note souffre de la concurrence des crossovers. Son frère Juke est son principal rival !

Apparu en 2010, ce dernier a été lancé avant la seconde mouture du Note, dévoilée courant 2012. Nissan n'avait cependant pas voulu écarter le Note de sa gamme européenne. Avec ses 4,10 mètres de longueur, il pouvait attirer ceux qui trouvaient l'ancienne Micra trop petite (3,83 m) et le Juke trop osé ou pas assez pratique.

La seconde explication de cette mort annoncée est le renouvellement de la Micra. Le constructeur vient de révéler au Mondial de l'Automobile une auto revue en profondeur, plus mature et plus polyvalente, qui soigne davantage son design et sa présentation. Surtout, la cinquième Micra mesure 4,01 mètres de longueur. Le coup de grâce pour le Note !

Cette fin de vie sera une bonne nouvelle pour les personnes à la recherche d'une citadine à prix canon : Nissan devrait casser les prix d'ici quelques mois.

Source Caradisiac

Brexit : Nissan ne sait pas encore où produire le prochain Qasqhai

Le Brexit devrait être définitivement acté en mars prochain mais bon nombre d'industriels se posent depuis déjà plusieurs mois la question du futur au Royaume-Uni : faut-il y rester, sous peine de payer des taxes à l'export, ou bien faut-il délocaliser ? Nissan est en plein doute et la décision du maintien de la production du Qashqai européen en Angleterre sera prise le mois prochain.



La troisième génération de Qashqai est déjà en développement bien avancé dans les quartiers généraux de Nissan et sa sortie approche tout doucement, avec un lancement prévu d'ici deux ans. C'est donc le bon moment de prévoir les améliorations à apporter dans l'usine qui fabrique le Qashqai actuel, sauf que Nissan se demande s'il faut maintenir les quelque 475 000 véhicules produits annuellement à Sunderland, au Royaume-uni, à cause du Brexit.

La sortie de l'Angleterre de l'Europe étant actée, il se pourrait que les constructeurs qui produisent là-bas et exportent à travers le Vieux Continent aient à payer des taxes à l'export, chose que refuse évidemment Carlos Ghosn, le patron de l'alliance Renault-Nissan. L'homme ne "demande pas d'avantage particulier" mais il ne souhaite pas non plus perdre de la compétitivité, chose compréhensible en industrie.

Si le gouvernement anglais décidait malgré tout de mettre des barrières en travers du chemin de Carlos Ghosn, Nissan pourrait alors exporter la production du futur Qashqai dans l'usine Renault de Palencia, là où sont déjà fabriqués les Kadjar. On espère évidemment pour les employés de Sunderland que nous n'en arriverons pas jusque là.

Source Caradisiac

(24-10-2016, 11:28:12)fefe hyundai a écrit : [ -> ]Si le gouvernement anglais décidait malgré tout de mettre des barrières en travers du chemin de Carlos Ghosn

Ca me tue de lire des trucs comme ça, et c'est malheureusement sans doute représentatif de la façon dont ça va vraiment se décider ...
Ca ne devrait pas être aux anglais de choisir s'il y aura ou non des taxes, mais à l'europe de bien leur mettre profond

Moi j'espère au contraire que les anglais récolteront la merde qu'ils ont semé, même s'il y a des chances que la production parte plutôt vers leur nouvelle usine au maroc ou pays de l'est

Brexit : Nissan laisse la production du Qashqai au Royaume-Uni

Finalement, les employés anglais de l'usine de Sunderland peuvent être rassurés : Carlos Ghosn vient de confirmer la production des prochains X-Trail et Qasqhai sur le site britannique, malgré les craintes d'une délocalisation à la suite du Brexit. Les garanties proposées par le gouvernement anglais ont été suffisantes.



Le gouvernement anglais n'avait finalement guère le choix : il fallait faire un maximum d'efforts pour conserver les emplois liés à la production des usines présentes sur le sol national. Le soutien apporté à Nissan a été visiblement largement suffisant puisque Carlos Ghosn a confirmé aujourd'hui la production des futurs Qashqai (lancé d'ici deux ans), X-Trail et même Juke dans l'usine de Sunderland qui assemble déjà le Qashqai pour exportation à travers l'Europe.

Il en allait de la survie de près de 7000 emplois à Sunderland, une zone qui aurait été tout simplement sinistrée par une délocalisation de la production des meilleures ventes de Nissan en Espagne, notamment, dans les usines Renault.

Rappelons que Nissan n'a pas le droit à l'erreur avec le Qashqai qui est la meilleure vente des SUV moyens en Europe (126 000 immatriculations sur les six premiers mois), très loin devant ses concurrents. La poule aux œufs d'or de la marque japonaise, (à mettre aux côtés du Juke, un autre best-seller) sera renouvelée très prochainement et adoptera pour la première fois des technologies de conduite autonome.

Source Caradisiac

Nissan lance "e-Power", moteur électrique à prolongateur d'autonomie

Avec plus de 250 000 ventes, la Leaf est désormais bien intégrée dans le paysage automobile, mais il y a toujours le problème de la crainte de l'autonomie. Nissan apporte une première réponse avec un tout nouveau système baptisé e-Power, qui associe moteur électrique et batteries à un générateur d'électricité.



Nissan se décide enfin à dévoiler des nouveautés dans le domaine de l'électrique après avoir longtemps capitalisé sur la Leaf, qui a dépassé les 250 000 ventes à travers le monde depuis son lancement. Le constructeur japonais nous officialise en effet la technologie e-Power, qui sera bien plus qu'un prototype ou qu'une vitrine puisqu'elle sera commercialisée sur la Note au Japon dans quelque temps.

E-Power est en fait une solution que nous connaissons déjà grâce notamment aux Opel Ampera (première génération) et BMW i3 : un moteur électrique, des batteries (qui sont ici implantées dans le plancher, sous l'habitacle), et un moteur thermique (essence) qui n'a qu'une seule et unique fonction : recharger les batteries lorsque leur niveau de charge descend trop bas.

En clair, la partie thermique n'a nullement vocation à entraîner les roues, mais simplement à jouer le rôle de générateur de courant si besoin est. On se souvient quand même que l'Opel Ampera avait été décevante au chapitre de la consommation avec un moteur Ecotec qui buvait un peu trop pour recharger les batteries, ce qui avait terni le bilan final. Nissan promet de son côté un appétit très mesuré et comparable aux meilleures hybrides du moment. Nous verrons bien si la marque se décide à introduire cette technologie par chez nous dans les mois à venir, mais pour l'heure, cela ne semble pas être le cas.

Source Caradisiac

Véhicules électriques: Nissan donne l'occasion de la seconde main

C’est le cycle de la vie. Les véhicules électriques commencent à peupler les parcs dédiés aux voitures d’occasion. Certes, mais comment leur faire confiance ? Les batteries ont une certaine durée de vie et coûtent une belle somme lorsqu’il faut les remplacer. Le marché neuf de l’électrique se conjugue essentiellement sur le mode de la location. Alors comment convaincre de devenir propriétaire d’une occasion ? Nissan a une solution.



Acheter et devenir une propriétaire d’un véhicule électrique sans appréhension, c’est possible avec Nissan. La marque du groupe Renault a ainsi mis sur pied le Nissan Club Occasions Véhicules Électriques. De quoi assurer une seconde vie aux 9 000 Leaf recensés dans le pays depuis 2010. Mais pas que. En effet, ce label concernera les modèles électriques toutes marques de moins de 6 ans et 150 000 kilomètres.

Une opportunité à étudier. Ainsi, les voitures répondant aux critères bénéficieront d’une garantie européenne de 12 à 36 mois et pendant 150 000 kilomètres. Il y aura cent points de contrôle dont certains pourtant sur des éléments propres aux véhicules électriques. À l’instar de la batterie, du système haute tension, du moteur électrique de traction ou encore du système de refroidissement des éléments électriques.

Mais ce n’est pas tout. L’acquéreur d’un véhicule électrique d’occasion Nissan labellisé aura droit au pack de mobilité Nissan. Ce dernier comprend un zéro émission charge pass qui donne accès gratuitement à 250 bornes de recharge en France, à une carte Hertz créditée de quatre semaines de location de véhicule thermique, à l’installation d’une prise domestique de 220V et enfin d’un trajet gratuit Auto/Train SNCF. 30 % de réduction sont ensuite accordés pour les trajets suivants.

Enfin, le label Nissan Club Occasions Véhicules Électriques comprend une offre de financement via un crédit à 0 % jusqu’à 60 mois, une assistance spécifique européenne opérationnelle 7j/7 et 24h/24 ainsi qu’un contrôle gratuit un mois après la livraison. La marque s’engage à ce que l’ensemble du parc exposé reste disponible à l’essai et à assurer la livraison des véhicules sous 24 heures.

L’objectif final de la marque est que toutes les concessions labellisées Nissan Club Occasions portent aussi le label Nissan Club Occasions Véhicules Électriques. Une dizaine de concessions est labellisée pour l’instant. L’idée est d’avoir les 145 sites labellisés d’ici à la fin de l’année fiscale japonaise 2017, c’est-à-dire le 31 mars. Une ambition qui ne sera pas si facile à réaliser. Certains sites ont du mal à s’acculturer au modèle Leaf. Un vécu avec une concession de Châtellerault dans la Vienne s’était avéré à ce titre assez affligeant.

Source Caradisiac

Nissan va lancer une offre de colocation automobile

Imaginez partager une voiture avec des inconnus, comme vous l'avez fait pendant vos études avec un appartement. C'est ce que Nissan va bientôt proposer avec la nouvelle Micra. Le japonais lancera en fin d'année la toute première offre de colocation automobile 100 % numérique.



Nous connaissons tous la colocation immobilière, où plusieurs personnes partagent le même logement pour des raisons essentiellement financières. Nissan s'en est inspiré pour mettre au point un service d'auto-partage inédit : la colocation d'une voiture. L'offre se nomme « Nissan Intelligent Get & Go Micra ». Comme son appellation l'indique, elle fonctionnera avec la nouvelle citadine du constructeur.

Le système sera proposé à Paris à partir de la fin d'année. Mais vous n'allez pas vous rendre en concession avec un groupe d'amis pour acheter en commun une Micra ! Le service fonctionnera à l'aide d'une plate-forme numérique qui prendra en compte les besoins et la géolocalisation des conducteurs. Elle formera elle-même les groupes à l'aide d'un algorithme unique. Les premières mises en circulation des autos sont prévues pour avril prochain.

Une seule version disponible

Pour simplifier le dispositif, une seule version de la voiture a été retenue : la 0.9 essence Acenta équipée du système audio Bose. L'assurance et l'entretien seront inclus et le système de facturation sera basé sur l'usage du véhicule. Il ne faudra pas dépasser 15 000 km par an. Pour le moment, Nissan ne donne aucune indication sur les tarifs ni de précision sur un éventuel planning de partage.

Lors de la présentation de ce service, le PDG Carlos Ghosn a déclaré : « Nous faisons un pas en avant vers la mobilité du futur où l'utilisation automobile offre plus de souplesse, de sociabilité et de partage ». Nissan tente ainsi de séduire les clients qui auraient décidé de faire l'impasse sur l'achat d'un véhicule, à l'heure où se développent le covoiturage, les VTC et les services de location dans les grandes agglomérations.

Source Caradisiac

Nissan teste le remorquage autonome

Jusqu'ici, bon nombre de constructeurs ont communiqué sur la conduite autonome avec des tests en interne, mais aucune de ces marques n'a pensé à parler d'un des aspects de la conduite qui pourrait nécessiter quelques spécificités en autonome : le remorquage. Nissan nous en parle justement avec les premiers essais réalisés au Japon.



La voiture autonome, nous nous y dirigeons tout droit, mais même les plus grands spécialistes actuels ne nous ont jamais parlé de la possibilité de tracter une remorque en mode autonome. Il faut pourtant bien souligner que les caractéristiques de la conduite lors d'un remorquage sont totalement différentes d'une conduite classique, notamment dans les virages serrés et les manœuvres.

Nissan est l'un des premiers constructeurs à en parler avec des essais réalisés dans l'usine d'Oppama au Japon. Une Leaf sert en effet de transporteur de véhicules neufs à la sortie de l'unité de production en tractant les exemplaires assemblés sur une remorque, le tout de façon autonome. Les autos sont ensuite acheminées sur le parc de stockage.

Nissan a baptisé son système IVT (intelligent vehicle towing). Celui-ci est capable d'analyser l'environnement (vitesse, obstacles, géolocalisation), mais aussi de communiquer avec les autres véhicules autonomes. Lorsque deux Leaf en train de remorquer se croisent, elles ont également la possibilité d'évaluer laquelle doit laisser la priorité. Un système qui devrait faire partie de la conduite autonome de Nissan dans les années à venir.

Source Caradisiac

J'imagine déjà le bordel monumental quand deux caisses qui se croisent bugueront et estimeront que l'autre à la priorité.

(06-12-2016, 15:44:15)Snowmonkey a écrit : [ -> ]J'imagine déjà le bordel monumental quand deux caisses qui se croisent bugueront et estimeront que l'autre à la priorité.

Impossible. A partir du moment où elles communiquent il y en a forcément une qui prendra le pas sur l'autre.
C'est ça qui est bien quand on retirela connerie humaine dde l'équation

C'est ce que disent tous les dev que je connais, mais y'aura toujours des failles puisque le code est fait par des humains

Nissan développe une technologie hybride rechargeable

L'Alliance Renault-Nissan avalait en octobre dernier le Japonais Mitsubishi en difficulté suite au scandale des moteurs truqués. Un partage technologique est en discussion. Nissan va peut-être bénéficier d'une partie des avancées de Mitsubishi du côté des hybrides rechargeables.



Le directeur du département européen de la recherche et du développement chez Nissan Takashi Shirakawa a avoué à nos confrères de la publication britannique AutoExpress qu'une technologie hybride rechargeable est en préparation pour les prochains véhicules de la firme. L'acquisition de Mitsubishi par le géant Renault-Nissan va probablement considérablement accélérer le processus.

Le responsable a déclaré lors d'une interview que : "la priorité actuelle de Nissan concerne l'électrification de sa gamme. Nous sommes en train de travailler sur un système compatible avec les attentes des clients en Europe. Mitsubishi Motors est le nouvel arrivant du groupe. C'est aussi la marque qui a lancé sur ce marché l'Outlander PHEV. Mitsubishi va peut-être partager une partie de cette technologie avec Nissan. Nous en discutons. Rien n'a été confirmé pour l'instant".

Aucun détail concernant le design du premier véhicule doté de l'avancée n'a été révélé par Takashi Shirakawa. Le manager a simplement indiqué que les automobilistes s'intéressent d'avantage à l'électrification lorsqu'il s'agit d'une voiture de petite taille. Les bruits de couloir avancent que le remplaçant du Nissan Juke bénéficiera en premier de l'opération.

Source Caradisiac

Carlos Ghosn : Renault-Nissan s'adaptera à Trump

Donald Trump a donc sonné la charge contre les constructeurs automobiles et leur politique de délocalisation de leurs productions. Le message est clair : si vous voulez vendre des voitures aux États-Unis, il va falloir faire travailler des Américains. Un discours que l’on croyait remisé sur les étagères de l’Histoire et dilué dans les traités internationaux consacrant le libre-échange. Un revirement qui ne fait pourtant pas sourciller Carlos Ghosn.



La General Motors est fustigée, Ford a esquivé le coup en prenant les devants et Toyota est dans le viseur. Leur point commun ? Tous ces constructeurs automobiles produisent au Mexique pour vendre aux États-Unis ce qui a le don d’excéder le futur président des États-Unis Donald Trump. Ce dernier jure que des sanctions douanières leur seront appliquées s’ils ne franchissent pas la frontière pour ouvrir des usines sur le sol américain.

Une situation que regardent de près Honda et le groupe Renault-Nissan qui ont aussi saisi les opportunités d’un accord commercial appela Alena qui date de 1994. Et qui concerne aussi le Canada. Le patron du groupe Renault-Nissan, Carlos Ghosn, a réagi à cette conjoncture lors d’une conférence de presse au CES de Las Vegas. Loin d’être anxieux, le patron français a affirmé que l’industrie automobile s’adapterait aux règles qu’imposera la nouvelle administration Trump.

« Si les conditions changent, il est évident que nous nous adapterons », a-t-il déclaré. Selon des propos rapportés dans le Wall Street Journal, Carlos Ghosn a insisté sur le fait qu’il attendait de voir comment Donald Trump allait mener sa politique commerciale. Il a noté que le président élu a surtout insisté sur "l'Amérique d'abord" et les emplois aux États-Unis. Et il n’y aurait "rien d’incompatible avec ce que nous faisons", a-t-il assuré.

Il précise : "les constructeurs automobiles seront pragmatiques et s'adapteront aux changements, à condition que la règle soit la même pour tous". Il a souligné que ces exigences concernant une production locale n’étaient pas surprenantes. "Beaucoup de pays nous disent ' si vous voulez vendre des voitures dans notre pays, vous devez les construire localement' ", a détaillé Carlos Ghosn. Certes, mais Donald Trump est le seul à expressément menacer de lourdes sanctions les marques ne se pliant pas à cette exigence de production locale.

On rappellera qu’au cours de son exercice fiscal qui s'est achevé en mars, Nissan a produit 800 000 véhicules dans ses trois usines mexicaines, dont près de la moitié a été vendue aux États-Unis.

Source Caradisiac
----------
Nissan : la prochaine Leaf sera autonome sur les autoroutes

La voiture électrique a du mal avec son autonomie mais pourtant elle roule à marche forcée vers un caractère autonome. C’est du moins ce que Nissan veut démontrer en apportant quelques raffinements technologiques à son modèle à batteries Leaf. Le concubin de Renault annonce en effet que son opus pourra être autonome sur les autoroutes.



Prendre un grand ruban avec une Nissan Leaf offrira bientôt l’opportunité d’abandonner le volant pour s’adonner à d’autres activités. C’est ce que promet Nissan avec son système ProPilot. Au Salon dédié à la haute technologie de Las Vegas, le constructeur a ainsi fait sensation en offrant dans sa voiture électrique grand public de référence une opportunité jusque-là proposée au très haut de gamme.

On rappellera qu’être autonome, pour un véhicule, c’est répondre à un niveau trois ou quatre. Concrètement, en niveau trois, la voiture est capable de rouler toute seule de manière autonome sur certaines routes mais se repose sur le conducteur en dernière instance : c'est lui qui est responsable du véhicule et a le contrôle des commandes. Les Tesla Model X et Model S en sont à ce niveau-là aujourd'hui.

En niveau quatre, toute la conduite est prise en charge par la voiture : c'est le système informatique qui se repose sur lui-même pour se corriger et s'ajuster. Dans ce cas, la voiture est capable d'éviter toute situation de danger et de rouler du début à la fin du trajet sur certaines routes, comme les autoroutes.

La Leaf de base coûtant un peu moins de 20 000 euros, on comprend qu’elle s’annonce comme la voiture qui va faire entrer le véhicule autonome dans les mœurs du grand public. Le début de la nouvelle ère tant annoncée. Cependant, le constructeur japonais n'a pas indiqué de date de sortie pour son véhicule ainsi équipé.

Source Caradisiac

Nissan vous offre un an d'électricité

Du 30 janvier au 4 février, le japonais offrira jusqu'à 1 500 € d'électricité à ceux qui achèteront un véhicule de la gamme 100 % électrique, à savoir une Leaf ou un e-NV 200.



En février, l'événement chez Nissan sera la commercialisation de la nouvelle Micra. Mais avant de mettre à l'honneur la cinquième génération de sa citadine, le constructeur va donner un coup de projecteur sur ses modèles branchés avec la deuxième édition de la "Semaine de l'électrique Nissan".

Celle-ci sera marquée par une proposition commerciale inédite : un an d'électricité offert. Pour en profiter, il faut bien évidemment opter pour un modèle écolo de la marque, la berline compacte Leaf ou le monospace e-NV200 Evalia. Nissan ne se contente pas de faire cadeau d'un an de recharge : il prendra à sa charge la consommation de toute la maison. Les clients auront le choix entre deux options :

Soit ils présentent leur échéancier 2016 au moment de la livraison de leur nouveau véhicule et bénéficient d'un remboursement, dans la limite de 1 500 €. Par exemple, si la facture de l'année dernière est de 750 €, Nissan fera un chèque de 750 €.

Soit ils choisissent de signer un contrat d'électricité avec CNR, le premier producteur français d'énergie exclusivement renouvelable, avec un crédit de 1 500 €. Les clients auront ainsi des factures de 0 € jusqu'à épuisement du crédit. Ce système est intéressant, car il est sans contrainte de temps, ce qui pousse à réaliser des économies pour faire durer le crédit le plus longtemps possible !

Nissan indique que ces offres sont cumulables avec les autres promotions appliquées à ces modèles.

Source Caradisiac

Nissan Leaf : baisse de prix et abandon de la "petite" batterie

Lancée en 2010, la Nissan Leaf a connu quelques évolutions au cours de sa carrière qui prendra bientôt fin avec la relève dans les cartons chez Nissan. En attendant, Nissan fait baisser le prix de son électrique et supprime la petite batterie pour ne laisser que la 30 kWh.



La Leaf, c'est une grande histoire pour Nissan qui a été le tout premier constructeur au monde à réussir à commercialiser une auto électrique à plus de 200 000 exemplaires sur une seule génération. Aujourd'hui, la Leaf continue sa carrière mais cela ne va pas durer puisque Nissan, qui travaille sur le développement de la seconde génération depuis déjà longtemps, s'apprête justement à la lancer.

En attendant l'arrivée de la Leaf 2, Nissan nous annonce quelques mises à jour pour l'actuelle Leaf avec une gamme plus simplifiée. La plus petite des versions, avec la batterie de 24 kWh, disparaît pour laisser la place à la seule Leaf de 30 kWh, toujours vendue sur trois niveaux de finition, à savoir Visia, Acenta et le haut de gamme Tekna.

Contrairement à Renault, Nissan laisse le choix aux clients avec l'achat complet ou bien la location des batteries. Dans le premier cas, les tarifs sont en baisse de 1400 € sur les finitions Acenta et Tekna. La gamme de la Leaf démarre désormais à 26 000 €, hors bonus écologique de 6000 €.

Source Caradisiac