Japan Car

Il y a aussi le fait qu'au Japon l'entreprise se "porte garant pour toi" en quelque sorte en signant ton visa de travail. Si tu fais parler de toi en mal leur nom y sera associé, et l'image publique est super importante dans ce pays.
Fin bref, on dérive du sujet original là.

Toyota songe à relancer la MR

Que diriez-vous d'une nouvelle MR entièrement électrique ?



La sympathique MR – également appelée MR2 ailleurs, mais pas chez nous pour des raisons évidentes d'euphonie – a tiré sa révérence en 2007 sans être remplacée. Elle pourrait toutefois renaître de ses cendres dans les années à venir, Toyota souhaitant désormais mettre l'accent sur les voitures plaisir.

La rumeur, qui n'est pas nouvelle en soi, revient sur le devant de la scène au lendemain de propos équivoques de Matt Harrison, le vice-président marketing et ventes de Toyota en Europe. En marge du Mondial de Paris, le responsable a admis que sa marque songeait à une nouvelle MR, mais qu'elle n'avait pas encore tranché. En cas de feu vert, l'auto rejoindrait dans quelques années la GT86 et la Supra, pour reformer un trio de sportives Toyota comme à la grande époque (à la différence près que la GT86 d'alors était la Celica).

Dans l'hypothèse où le constructeur se lancerait dans une telle aventure, il pourrait, par exemple, partager la plateforme – et ses coûts de développement – avec une autre firme elle aussi intéressée par une sportive, tout en greffant sur cette base ses propres moteurs 100% thermiques ou hybrides. Il pourrait aussi créer une MR 100% électrique en partant de sa nouvelle plateforme Toyota New Global Architecture (TNGA). Le moteur électrique serait implanté à l'arrière de l'auto, comme un clin d'œil à la MR originale et à sa mécanique en position centrale arrière.

Source Motor1

La Toyota MR ressuscitée avec l'aide de Subaru ?

Les deux marques japonaises approfondiraient leur collaboration pour mettre au point une nouvelle sportive à moteur central.

Dans le fond, un constructeur est rarement contre l'idée de lancer (ou relancer) une sportive. Cependant, dans le monde automobile tel qu'il va aujourd'hui, les considérations financières prennent quasi systématiquement le dessus et enterrent tous les projets un tant soi peu audacieux. Certaines marques trouvent néanmoins la parade, en s'associant pour développer conjointement une voiture plaisir qu'elles adaptent ensuite à leur philosophie. La firme Toyota en sait quelque chose, elle qui a créé la GT86 avec Subaru et la Supra avec BMW. D'après de nouvelles rumeurs, elle voudrait aussi s'appuyer sur un partenariat pour relancer la MR, petite sportive abordable que certains marchés ont connue sous le nom de MR2.

Une fois de plus, Toyota s'associerait à Subaru pour relancer ce modèle à moteur central. Tout le monde y trouverait son compte, puisque Subaru aimerait également se doter d'une petite sportive de cet acabit. Et Tetsuya Tada, l'ingénieur en chef de la Supra, serait un homme heureux, lui qui expliquait l'an dernier qu'il aimerait reformer le trio magique Celica (aujourd'hui la GT86) / MR / Supra.

Aucune information d'ordre technique n'a émergé à ce stade. Nous espérons simplement que la nouvelle MR – si elle voit réellement le jour – profitera d'une mécanique plus affûtée que le quatre-cylindres 2,0 litres de la GT, souvent pointée du doigt pour son manque de puissance. Celle-ci devrait corriger le tir lorsqu'elle sera renouvelée, puisque Toyota et Subaru travailleraient actuellement sur un 2,4 litres hybride délivrant dans les 300 ch. Toutes ces informations suscitent évidement beaucoup d'enthousiasme mais, rappelons-le quitte à être rabat-joie, elles restent à confirmer.

Source Motor1

Le duo Toyota GT86 / Subaru BRZ finalement sur la sellette ?

Toyota et Subaru continueraient de travailler ensemble, mais pour développer un autre type de sportive.



L'arrivée de la nouvelle Supra va-t-elle entraîner la disparition de la GT86 et, par voie de conséquence, celle de son clone la Subaru BRZ ? Des informations récoltées ici ou là suggéraient que non, mais de nouvelles révélations en provenance du site Japanese Nostalgic Car peignent un autre scénario.

D'après ce média, un magazine s'apprêterait à révéler dans une de ses publications que le partenariat mis en place pour ces deux modèles sera prochainement abandonné. Après avoir appris cela, nos collègues américains ont contacté des représentants des deux marques pour tenter d'en savoir plus. Si Toyota n'a pas encore répondu, Subaru a fait savoir que le BRZ devait bien être renouvelé, sans toutefois entrer dans les détails. Peut-être faut-il comprendre qu'il y aura bien une deuxième génération de BRZ, mais qu'elle n'aura rien à voir avec le premier modèle, et qu'elle n'aura plus d'équivalent chez Toyota, en tout pas sous le nom de "GT86".





Dans le fond, la disparition de la GT86 et de ce qu'elle représente ne serait pas complètement illogique : il paraît en effet difficile de faire cohabiter ce modèle et la Supra quatre-cylindres proposée sur certains marché, les deux autos affichant des niveaux de puissance quasi similaires.

D'après d'autres sources, Toyota et Subaru voudraient poursuivre leur partenariat, mais pour un autre projet : une petite sportive à moteur central. Chez Toyota, ce modèle pourrait être la nouvelle MR évoquée de longue date. Chez Subaru, l'auto pourrait faire office de nouveau BRZ.

Si nous employons le conditionnel, c'est bien parce que toutes ces informations doivent être prises avec des pincettes pour le moment. Nous espérons en savoir plus prochainement !

Source Motor1

Toyota compte toujours sur la GT86

La Supra a besoin d'une petite sœur.



Le temps passe et les rumeurs autour de l'avenir de la GT86 se multiplient. Rumeurs souvent contradictoires d'ailleurs, puisque certaines sources voient ce modèle disparaître, quand d'autres pensent qu'il sera bel et bien remplacé. De nouvelles informations fraîchement récoltées par le média GoAuto valideraient plutôt la deuxième hypothèse.

Réagissant aux publications de sites annonçant la fin de la GT86, Brodie Bott, le directeur des affaires publiques chez Toyota Australie, a déclaré : "Je ne sais pas d’où viennent ces informations, mais sachez qu'à ce stade-là, nous ne cherchons certainement pas à l'arrêter, c’est une voiture assez importante pour nous, c'est en quelque sorte la petite sœur de la Supra".

En outre, un porte-parole de la marque aux États-Unis a tenu des propos allant dans le même sens auprès de nos confrères américains. "Comme Akio Toyoda l'a déclaré lors de la présentation de la Supra, Toyota s'est engagé à construire des modèles excitants, dont des voitures de sport", a-t-il d'abord rappelé, avant d'ajouter : "La GT86 fait partie de la famille Toyota depuis 2013 et nous prévoyons de la maintenir au sein de l'offre des Toyota sportives".

D'après des informations non officielles, la prochaine GT86 sera toujours développée aux côtés de Subaru, qui continuera donc de proposer le BRZ de son côté. Les modèles de nouvelle génération verraient le jour à l'horizon 2021. Ils recevraient un quatre-cylindres en ligne de 2,4 litres et profiteraient d'un centre de gravité abaissé qui les rendraient encore plus plaisants à conduire.

Source Motor1

Toyota devrait bien lancer une Corolla GRMN

Avec un moteur 100% thermique sous le capot.



Toyota a bel et bien l'intention de proposer une version sportive de sa nouvelle Corolla. Déjà maintes fois évoquée par des sources plus ou moins fiables, l'information vient d'être confirmée par le chef adjoint du bureau de la marque.

Dans un entretien accordé à des journalistes hollandais, Toshio Kanei a indiqué que Toyota travaillait déjà sur ce véhicule. "Le développement a lieu sous la supervision de Toyota Gazoo Racing", a-t-il affirmé, avant de préciser : "Le département a intégré la Corolla GRMN dans ses futurs plans, mais pour l'instant, le projet en est encore à la phase de planification."

Contrairement aux autres versions de la Corolla, la GRMN n'utilisera pas de motorisation hybride, mais un bloc 100% thermique. Plutôt que de reprendre le 1,8 litre de la Yaris GRMN, Toyota voudrait un autre moteur garantissant à la fois plus de puissance et des niveaux d'émissions polluantes raisonnables. "Un moteur turbo à quatre-cylindres d'une cylindrée d'environ 1,6 litre peut être intéressant", a déclaré à ce sujet Toshio Kanei. Cette recette est par exemple celle qu'a adoptée Peugeot sur la 308 GTI.

À ce stade, il est encore difficile de savoir quand la Corolla GRMN intégrera le catalogue de la marque. Le lancement se ferait plutôt lorsque la Corolla arrivera en milieu de cycle, c'est-à-dire dans trois ans environ. L'auto pourrait du reste être proposée en série limitée, comme la Yaris GRMN avant elle qui fut produite à seulement 400 exemplaires.

Source Motor1

2,4 litres sur une petite sportive, c'est bien ! Mais 1,6L, ça fait triste...

Toyota devrait bien faire une nouvelle GT86 aux côtés de Subaru

La GT86 et la Supra ne visent pas le même public.



On a pu la penser sur la sellette, notamment après l'arrivée de la nouvelle Supra, mais la GT86 devrait bien rester au catalogue de Toyota. Cela vient d'être confirmé par Matt Harrison, le vice-président exécutif des ventes de la marque en Europe.

Selon le haut responsable, Toyota estime que la GT86 est une voiture importante sur le plan de l'image, d'où la décision de la conserver. "La Supra n'a pas vocation à remplacer cette voiture", a-t-il ensuite affirmé. "Ce sont des modèles différents, des modèles qui ne visent pas le même public. Nous estimons qu'il peuvent très bien cohabiter dans notre gamme." Toujours d'après la même personne, le fait que ce modèle ne génère pas de gros volumes de ventes est secondaire pour Toyota. La firme nippone accorde plus d'importance à son aura, aux gains en matière d'image de marque qu'il lui apporte.

Matt Harrison a du reste confirmé à demi-mot que la prochaine GT86 serait conçue aux côtés de Subaru, qui propose de son côté le BRZ. La date de lancement du véhicule n'est pas connue à ce jour. Nous n'avons pas non plus d'informations officielles sur la fiche technique, mais des rumeurs existent. Certains évoquent une mécanique hybride, d'autres un quatre-cylindres "boxer" d'une cylindrée de 2,4 litres.

Parallèlement, Toyota travaille sur d'autres modèles sportifs dont les contours restent à définir. D'après de persistantes rumeurs, le constructeur voudrait notamment ressusciter la MR, peut-être sous la forme d'une sportive entièrement électrique.

Source Motor1

Tu m'étonnes qu'ils pensent à la MR, vu comme Mazda a montré que des voitures à l'ancienne (cab 2 places < 1000 kg) ça se vendait très bien...

Ils seraient bêtes de pas la sortir, ça serait une super alternative aux Boxster/SLK/& Co. D'autant que sur un central y'a pas besoin non plus d'envoyer le moteur de foufou, ils auraient quoi Toyota à mettre dedans...?

S'ils en font une 100% électrique comme le prédisent les rumeurs il va quand même falloir prendre en compte le poids (et la taille ?) des batteries.

Toyota annonce une nouvelle diminution de sa production

Après une annonce similaire en août, Toyota est à nouveau contraint de réajuster sa production en raison d'une pénurie de matériaux.

Les semaines se suivent et se ressemblent pour les constructeurs automobiles. Et, au vu des déclarations de plusieurs dirigeants à l'occasion du Salon de Munich qui s'est tenu la semaine dernière, la situation ne devrait pas s'arranger de si tôt. En effet, les constructeurs automobiles, mais pas que, sont confrontés depuis des mois à une crise de semi-conducteurs, affectant ainsi toutes leurs lignes de production.

Pratiquement aucun constructeur n'échappe à la règle, de Mercedes en passant par BMW, sans oublier les marques du groupe Stellantis ou encore Renault. Et si on pensait que Toyota était relativement épargné par cette crise, ce n'est plus le cas depuis quelques mois, puisque la firme japonaise a annoncé le mois dernier avoir revu sa production à la baisse. Et preuve en est que la crise n'est pas terminée, et que la situation peut même empirer, la marque vient à nouveau de revoir ses chiffres à la baisse.

Ainsi, Toyota prévoit de produire 400 000 véhicules de moins qu'initialement estimé en septembre et octobre − 180 000 au Japon et 220 000 à l'étranger − en raison d'une "pénurie de certaines pièces causée par la propagation du Covid-19 en Asie du Sud-Est", précise-t-il dans un communiqué. Visiblement, même si les fameuses pièces ne sont pas citées explicitement, la pénurie de semi-conducteurs ne semble pas la seule fautive.

Le groupe, premier constructeur mondial en termes de volume en 2020, avait déjà annoncé le mois dernier une réduction de sa production mondiale pour septembre de 40 % par rapport à ses prévisions, soit 360 000 véhicules de moins. Sur l'ensemble de l'exercice 2021/2022 commencé le 1er avril, Toyota prévoit désormais une production totale de 9 millions de véhicules, selon le communiqué, citant aussi l'impact de la pénurie mondiale de semi-conducteurs sur ses opérations.

Le géant japonais, dont les résultats sur le trimestre avril-juin étaient en très forte augmentation sur un an, précise toutefois que sa prévision d'un bénéfice opérationnel de 2500 milliards de yens (soit environ 19,2 milliards d'euros) pour 2021/22 reste inchangée.

Source Motor1

Toyota : La transition vers l'écologie passe par la conversion des moteurs thermiques

Akio Toyoda, PDG de Toyota, parle d'une approche holistique pour réduire les émissions de carbone dans le monde.



D'ici la fin de la décennie, de nombreux constructeurs automobiles se sont déjà engagés à ne plus vendre de véhicules à moteur à combustion interne (MCI). Dans quel but ? Pour réduire les émissions de carbone dans le monde et, espérons-le, prévenir le changement climatique.

Akio Toyoda, patron de Toyota, estime que ce n'est pas suffisant, rapporte Automotive News. Selon le PDG de Toyota Motor Corporation, cela ne suffira pas à réduire les émissions des millions de voitures équipées d'un moteur à combustion interne, même si toutes les nouvelles voitures qui seront vendues un jour seront électriques.

La solution de Toyota consiste à convertir les véhicules existants à une propulsion neutre en carbone, soit en les convertissant en véhicules entièrement électriques, soit en les dotant d'un moteur à hydrogène.

Toyota a montré comment faire au salon automobile de Tokyo, où le constructeur a présenté deux AE86 Concepts. L'une est entièrement électrique tandis que l'autre est alimentée par de l'hydrogène.

Revêtue de l'emblématique carrosserie noire et blanche, l'AE86 H2 Concept à hydrogène est équipée de deux réservoirs d'hydrogène provenant de la Mirai, placés dans le coffre. Le moteur quatre cylindres sous le capot est équipé quant à lui d'injecteurs de carburant, de tuyaux de carburant et de bougies d'allumage modifiés pour répondre aux spécifications du système à hydrogène.



Le Toyota AE86 BEV Concept, quant à lui, utilise un moteur électrique provenant d'une Tundra hybride, le bloc-batterie d'une Prius hybride rechargeable et des composants provenant d'autres modèles de production Toyota et Lexus. Étonnamment, les équipes de Toyota ont aussi intégré une transmission manuelle.

Ces deux concepts devraient apporter la preuve que la vision de Toyoda peut être réalisée, même si Toyota admet que le fait d'en parler n'est que la première étape d'un long processus de développement.

"De nombreux constructeurs automobiles visent un passage aux 100% électrique, entre 2030 et 2040", a déclaré Toyoda dans le rapport d'Automotive News. "Mais la réalité est que nous ne pouvons pas atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 simplement en transférant toutes les ventes de voitures neuves vers les VE. [...] Il est important de fournir des options pour les voitures que l'on possède déjà."

Source Motor1

Une belle fumisterie.

La conversion d'un moteur à combustion interne classique à l'hydrogène entraine une baisse de perfo considérable (l'H2 en se détendant prend la place de l'air remplissage dégradé perte de puissance énorme) et doit fonctionner très pauvre, donc soit va générer des NOx à crever, soit il faut de l'EGR en MASSE qui va de paire avec une grosse suralimentation.
Bref, le 4AGE atmo sera anémique et aura besoin de plus de systèmes de dépollution qu'un Diesel, ou polluera à mort. D'ailleurs Toyota ne fait aucune annonce à ce sujet si ce n'est que le kit de conversion sera bientôt dispo à la vente
Vive la comm !

Quand à l'élec, foutre une batterie de 13kWh voudra dire plus ou moins 100km d'autonomie pour profiter des incroyables 48ch. Whaouh !

Comme vous le voyez, je supporte à fond le rétrofit

FUCK YES !

- Toyota a enfin compris que la fabrication de nouveaux véhicules est un total non-sens, alors qu'on a déjà la technologie pour retrofitter, de façon durable les plus anciens véhicules ...

- ... Et que de toutes façons les véhicules actuels, pour peu qu'ils soient entretenus et réparés correctement, peuvent faire plusieurs fois le tour du compteur.

- La combustion à hydrogène est à mon avis le futur de l'automobile "durable", certes elle implique certains soucis, comme la génération de NOx, mais des technologies de "DeNOx" sont déja en développement depuis quelques années (et utilisées sur certains véhicules de tous les jours), les BEV sont un total non-sens écologique (mais on ne le voit pas, donc NIMBY toussa ...)

Je me souviens d'avoir assisté à la présentation technique de la Mirai 1ère gen, aux alentours de 2014 un truc du style, les gars de chez Toyo se sont un peu creusé les méninges, en n'ont pas simplement pondu une caisse réellement viable sur le plan technique, mais aussi toute une série de solutions pour produire et stocker de l'hydrogène sans recourir forcément à de la couteuse électrolyse, ou à du pétrole.

(ils avaient imaginé par exemple, fermenter de la bouse de vache et en extraire le H2 à l'aide de racleurs dans le fond des granges, un procédé similaire avec les ordures ménagères etc ....)

Ce qui pose problème avec la Mirai, c'est que c'est une voiture propulsée électriquement, mais avec une fuel cell hydrogène qui génère de l'électricité à la place de la batterie, et donc, cellule à combustible oblige, il faut des minéraux rares pour en produire.

L'avantage de la combustion de H2 comme présenté sur cette Trueno, c'est qu'à part quelques adaptations comme les injecteurs, on peut faire fonctionner un moteur classique avec.

Je pourrais lister tous les avantages (tant économiques qu'écologiques) à utiliser un moteur à combustion classique pour brûler de l'hydrogène, mais je veux pas écrire non plus un pavé

Bref, géniale initiative que celle de M. Toyoda, en espérant que cela encouragera enfin certains "écolos" (notez les guillemets) à compter le carbone produit pour l'ensemble d'une voiture, et non seulement à la sortie du pot d'échappement.

(pour la petite histoire) :

Petite question : ils bouffent combien de place dans le coffre les réservoirs d'hydrogène (parce que si on peut plus rien transporter après c'est dommage) ?

Presque rien !