Recommandé reçu hier pour le Honda Fr-v
Alors que je savais que savais dès le départ que mon véhicule avais le défaut.
J"avais insisté dès le départ en plus
Honda France, et j'ai même étais en Allemagne .
Votre véhicule ne fais pas parti du Lot , toujours la même réponse .
Bizarrement aujourd'hui il en fais parti
Evidemment suis conscient qu'on peut pas traité tout le monde en même temps , mais de la me dire qu'on m'on véhicule n'étais pas concerné dès le départ juste lamentable...
Peut être qu'il n'était pas sur la première liste de rappels? ?
Des fois faut pas chercher...
La mienne est passée l'année dernière ..
Oui , défois vaut mieux pas cherché a comprendre .
En attendant en cas de choc j'aurais pu avoir des problème .
Alors que eux les Ricains, c'est priorité absolu .
Moi entre temps des année sont passé alors que j'avais insisté du problème et que je savais que mon numéro de pièce étais touché .
Quand tu li le pavé de Honda France (recommandé) , tout leur blabla qu'il sont vigilant sur la sécurité etc et qu'il dise qu'il vienne a peine de constaté un défaut sur mon véhicule . Alors que sa fais 3 plombe que le leur et notifié le problème que mon véhicule étais bien concerné par cette pièce défectueuse .
Ont va resté sur la , je vais pas cherché a comprendre
Takata : finalement, ce sera le dépôt de bilan
Il s’agit de l’épilogue d’un des plus gros scandales de l’industrie automobile. Il était d’ampleur mais son coût était aussi un gouffre. Il a touché une enseigne créée en 1933 et qui détenait 20 % du marché mondial des ceintures et airbags. Il s’agit de Takata dont la famille dirigeante a résisté plus que de raison à son engloutissement. Mais le dépôt de bilan aura bien lieu et dès la fin de ce mois. Ce qui était un des fleurons de l’industrie japonaise va rendre les armes à un équipementier américain contrôlé par un chinois.
Une conclusion qui ne fera certainement pas rire au Japon, mais en même temps, l’affaire, commencée en 2014, est à la fois grave et dramatique. Selon les autorités américaines, la société aurait, pendant plus d’une décennie, aurait dissimulé l’existence d’un défaut majeur dans ses airbags, susceptibles d’exploser inopinément en projetant des fragments sur le conducteur ou le passager.
Résultat ? Près de 100 millions de coussins de sécurité ont fait l’objet d’un rappel qui est passé à la postérité de par son ampleur inégalée dans l’histoire automobile. Mais aussi au moins seize morts, dont onze aux États-Unis, qui ont été recensées après l’explosion des pièces défectueuses.
Depuis, les dettes de Takata, dont 60 % des actions appartiennent à la famille fondatrice, s’élèvent à plus de 8 milliards d’euros. Un milliard de dollars d’amende a été infligé aux États-Unis. Le dépôt de bilan était donc quasi inéluctable, d’autant plus qu’il était réclamé par les constructeurs automobiles, soit ses clients qui ont dû se fendre d’énormes rappels de leurs modèles.
Les principales activités de Takata seront transférées à une nouvelle entité. Key Safety Systems, un équipementier américain contrôlé par le chinois Ningbo Joyson Electronic, prendra les commandes. Le Tokyo Stock Exchange (TSE) a annoncé dans la foulée la suspension des transactions sur le titre dans l’attente d’éclaircissements de la part du groupe.
Source Caradisiac
Takata : rappel de 2,7 millions d'airbags supplémentaires
C’est une histoire qui n’en finit pas et elle concerne une enseigne Takata qui passe de vie à trépas. L’enseigne japonaise et grande spécialiste des airbags s’est progressivement dégonflée après que le scandale des malfaçons de ses produits lui a éclaté à la figure. Pas moins de dix-sept constructeurs ont été impactés entraînant des campagnes de rappels de par le monde d’une ampleur inédite. Et qui continuent.
C’est en effet une nouvelle série de convocations dans les ateliers qui est imposée aux véhicules équipés des airbags Takata. Un mouvement initié des États-Unis où l’agence américaine de sécurité routière NHTSA (National Highway Traffic Safety Administration) a ordonné le rappel de 2,7 millions d'airbags supplémentaires du groupe japonais.
Ces airbags équipent des véhicules de Ford, Nissan et Mazda produits entre 2012 et 2015. Mais ce rappel concerne principalement Ford, à hauteur de 2,2 millions de véhicules. Une conjoncture reconnue par John Cangany, porte-parole du constructeur américain. De son côté, Nissan va rappeler 627 000 de ses modèles Versa, dont 515 000 aux États-Unis, "par excès de prudence" selon le groupe japonais. Mazda a indiqué que seuls 6 000 de ses pickups B-Series étaient concernés.
Les airbags défectueux de Takata sont liés à 17 décès et plus de 180 cas de blessures à travers le monde. On estime à environ 125 millions le nombre de ses produits qui seront rappelés d'ici 2019, pour moitié aux États-Unis. Cependant, 65 % des 46,2 millions d'airbags Takata déjà rappelés aux États-Unis n'ont pas encore fait l'objet d'une réparation.
Source Caradisiac
Takata : pour solde de tout compte
C’est la fin d’un géant de l’industrie liée à l’automobile, un des premiers équipementiers au monde. Il était Japonais et, ce qu’il en reste, évoluera sous pavillon américain. Mais c’est bien un Chinois qui sera aux manettes. Tout un symbole dans ce nouveau schéma qui confirme le déplacement du centre de gravité de tout ce qui est lié à la voiture. Pour le meilleur ou pour le pire.
On ne saurait encore répondre à cette question existentielle essentielle, mais il faut dire que ce cas concret montre que l’équilibre qui prévalait jusqu’à présent ne garantissait pas la sécurité et la qualité. Voici le cas Takata, maison familiale fondée en 1933 devenue empire au pays du soleil levant et qui vit un douloureux crépuscule pour l’aube d’une ère nouvelle.
Du Japon exsudait un préjugé de qualité, comme pour l’Allemagne d’ailleurs, et on a eu l’un des plus grands scandales industriels de l’automobile : quelque 100 millions d'airbags défectueux en fonction dans les voitures de toutes les marques disséminées dans le monde. Un défaut majeur dans le produit dissimulé pendant des années, et responsable d'une vingtaine de décès et de plus d'une centaine de cas de blessures.
Les activités de Takata ont été transférées à l'équipementier américain Key Safety Systems (KSS). KSS est un groupe basé aux Etats-Unis mais contrôlé par le chinois Ningbo Joyson Electronic. L'acquisition des actifs de Takata s’est faite à l'exception de ceux liés aux coussins de sécurité mis en cause dans le scandale, pour un montant de 1,3 milliard d'euros, au cours actuel.
La nouvelle compagnie portera le nom de Joyson Safety Systems. Elle devrait afficher un chiffre d'affaires annuel de 7 milliards de dollars, pour des effectifs supérieurs à 50 000 employés. Shigehisa Takada héritier de la famille fondatrice, a déclaré, avant de quitter ses fonctions : "
nous adressons une nouvelle fois nos sincères excuses aux clients, créanciers, actionnaires et tous ceux qui ont été affectés par les problèmes causés par nos airbags". C’est un dénommé Yoichiro Nomura qui sera chargé d'endosser les derniers litiges, essuyer les nombreuses plaintes et fournir les airbags de remplacement.
Source Caradisiac