10-08-2018, 17:39:53
Les deux constructeurs ont avoué que les contrôles de pollution ont été falsifiés.
Il y a quelques mois, le constructeur Nissan a avoué avoir falsifié les contrôles de pollution au Japon. Le gouvernement a alors ordonné à l'ensemble de l'industrie automobile de procéder à des vérifications en interne. Après examen, ce sont les constructeurs Mazda et Suzuki qui avouent à leur tour avoir certifié des voitures, alors que leurs niveaux de consommation en carburant et d'émissions en particules polluantes ont été testés dans des conditions non valables !
Le constructeur Suzuki - quatrième constructeur japonnais - s'est alors immédiatement excusé : “J’exprime des excuses profondes et je conduirai les efforts pour empêcher que cela se reproduise” a déclaré Toshihiro Suzuki, le directeur général de la marque.
De son côté, Mazda clame haut et fort son innocence. Cependant, bien que le constructeur martèle qu'il n'a pas triché lors de l'homologation de ses véhicules, il confirme que les tests ont été menés selon des méthodes inappropriées. Le constructeur a d'ores et déjà corrigé le tir en mettant à jour son système de contrôle et en recrutant des employés qui seront chargés d'inspecter toutes les données relatives à la consommation et aux rejets de particules polluantes.
Les constructeurs japonais ne sont donc pas dans le même cas de figure que le groupe Volkswagen, lui qui a triché de son plein gré en équipant ses véhicules d'un logiciel truqueur chargé de brider le véhicule à la détection d'un cycle de contrôle anti-pollution par exemple. Le groupe a d'ailleurs été condamné à verser une amende d'un milliard d'euros en Allemagne.
Source Motor1
Il y a quelques mois, le constructeur Nissan a avoué avoir falsifié les contrôles de pollution au Japon. Le gouvernement a alors ordonné à l'ensemble de l'industrie automobile de procéder à des vérifications en interne. Après examen, ce sont les constructeurs Mazda et Suzuki qui avouent à leur tour avoir certifié des voitures, alors que leurs niveaux de consommation en carburant et d'émissions en particules polluantes ont été testés dans des conditions non valables !
Le constructeur Suzuki - quatrième constructeur japonnais - s'est alors immédiatement excusé : “J’exprime des excuses profondes et je conduirai les efforts pour empêcher que cela se reproduise” a déclaré Toshihiro Suzuki, le directeur général de la marque.
De son côté, Mazda clame haut et fort son innocence. Cependant, bien que le constructeur martèle qu'il n'a pas triché lors de l'homologation de ses véhicules, il confirme que les tests ont été menés selon des méthodes inappropriées. Le constructeur a d'ores et déjà corrigé le tir en mettant à jour son système de contrôle et en recrutant des employés qui seront chargés d'inspecter toutes les données relatives à la consommation et aux rejets de particules polluantes.
Les constructeurs japonais ne sont donc pas dans le même cas de figure que le groupe Volkswagen, lui qui a triché de son plein gré en équipant ses véhicules d'un logiciel truqueur chargé de brider le véhicule à la détection d'un cycle de contrôle anti-pollution par exemple. Le groupe a d'ailleurs été condamné à verser une amende d'un milliard d'euros en Allemagne.
Source Motor1