10-01-2017, 17:58:16
Le coréen fait sensation avec la présentation de la Stinger, une berline au look musclé qui met l'accent sur le plaisir de conduite. Propulsion, l'auto est le modèle de série le plus rapide de l'histoire de la marque.
Rares sont les constructeurs qui dévoilent deux autos à quelques jours d'intervalle, encore plus quand elles ont un positionnement opposé ! Après avoir renouvelé sa petite citadine Picanto, Kia présente son nouveau porte-drapeau, la Stinger. Si ce modèle reprend l'appellation d'un concept de coupé présenté en 2014, il s'agit de la version de série du prototype GT, exposé au Salon de Francfort… 2011.
5 ans et demi entre l'étude de style et la série, c'est énorme. Mais la Stinger n'apparaît nullement démodée. Elle s'intègre parfaitement à la gamme actuelle de Kia. Surtout, et c'est le plus important, elle aimante les regards avec une silhouette musclée influencée par le monde des coupés.
Le coréen frappe un grand coup : large calandre "nez de tigre", long capot intégrant des ouïes, sorties d'air dans les ailes, épaules marquées, quatre sorties d'échappement… On reprochera juste une trop proche ressemblance avec la sage Optima de profil, avec une baguette de chrome similaire. Présentée aux États-Unis, la Stinger a été dessinée par le centre de style européen de Kia. Elle mesure 4,83 mètres de longueur, soit 3 centimètres de moins que l'Optima, qui risque de souffrir de la naissance de cette sœur plus sexy.
L'habitacle n'est pas en reste. La planche de bord ne fera pas l'unanimité mais apporte un sacré vent de fraîcheur chez Kia. Certains auront en tête des productions Mercedes. Dommage d'ailleurs que l'écran du système multimédia soit mal intégré. L'ensemble dégage une impression de qualité inédite chez le coréen. Kia promet un volume de coffre généreux. On accède à la malle via un hayon à ouverture mains libres.
Kia a mis les petits plats dans les grands pour que le ramage se rapporte au plumage. La Stinger mise ainsi sur le plaisir de conduite. Le développement technique a été chapeauté par l'ancien patron du département M de BMW. C'est la première Kia avec des suspensions pilotées, qui proposent pas moins de cinq modes de fonctionnement
L'auto est une propulsion (avec différentiel à glissement limité mécanique permettant de répartir la puissance entre les roues arrière) disponible avec deux blocs couplés à une boîte automatique 8 rapports : quatre cylindres 2.0 d'environ 255 ch et V6 biturbo 3.0 d'environ 370 ch. Avec ce dernier, la Stinger passe de 0 à 100 km/h en 5,1 secondes, un record pour une voiture de production signée Kia. La vitesse de pointe frôlera les 270 km/h. Kia proposera aussi une transmission intégrale.
Pas d'innovation dans la liste des aides à la conduite, avec des dispositifs désormais bien connus : système anticollision avant avec freinage d'urgence autonome, régulateur de vitesse adaptatif, aide active au maintien dans la voie, alerte de baisse de vigilance...
Dévoilée à Detroit, la Stinger rejoindra les concessions françaises en fin d'année.
Source : Caradisiac
Rares sont les constructeurs qui dévoilent deux autos à quelques jours d'intervalle, encore plus quand elles ont un positionnement opposé ! Après avoir renouvelé sa petite citadine Picanto, Kia présente son nouveau porte-drapeau, la Stinger. Si ce modèle reprend l'appellation d'un concept de coupé présenté en 2014, il s'agit de la version de série du prototype GT, exposé au Salon de Francfort… 2011.
5 ans et demi entre l'étude de style et la série, c'est énorme. Mais la Stinger n'apparaît nullement démodée. Elle s'intègre parfaitement à la gamme actuelle de Kia. Surtout, et c'est le plus important, elle aimante les regards avec une silhouette musclée influencée par le monde des coupés.
Le coréen frappe un grand coup : large calandre "nez de tigre", long capot intégrant des ouïes, sorties d'air dans les ailes, épaules marquées, quatre sorties d'échappement… On reprochera juste une trop proche ressemblance avec la sage Optima de profil, avec une baguette de chrome similaire. Présentée aux États-Unis, la Stinger a été dessinée par le centre de style européen de Kia. Elle mesure 4,83 mètres de longueur, soit 3 centimètres de moins que l'Optima, qui risque de souffrir de la naissance de cette sœur plus sexy.
Une influence BMW dans la conception
L'habitacle n'est pas en reste. La planche de bord ne fera pas l'unanimité mais apporte un sacré vent de fraîcheur chez Kia. Certains auront en tête des productions Mercedes. Dommage d'ailleurs que l'écran du système multimédia soit mal intégré. L'ensemble dégage une impression de qualité inédite chez le coréen. Kia promet un volume de coffre généreux. On accède à la malle via un hayon à ouverture mains libres.
Kia a mis les petits plats dans les grands pour que le ramage se rapporte au plumage. La Stinger mise ainsi sur le plaisir de conduite. Le développement technique a été chapeauté par l'ancien patron du département M de BMW. C'est la première Kia avec des suspensions pilotées, qui proposent pas moins de cinq modes de fonctionnement
0 à 100 km/h en 5,1 secondes
L'auto est une propulsion (avec différentiel à glissement limité mécanique permettant de répartir la puissance entre les roues arrière) disponible avec deux blocs couplés à une boîte automatique 8 rapports : quatre cylindres 2.0 d'environ 255 ch et V6 biturbo 3.0 d'environ 370 ch. Avec ce dernier, la Stinger passe de 0 à 100 km/h en 5,1 secondes, un record pour une voiture de production signée Kia. La vitesse de pointe frôlera les 270 km/h. Kia proposera aussi une transmission intégrale.
Pas d'innovation dans la liste des aides à la conduite, avec des dispositifs désormais bien connus : système anticollision avant avec freinage d'urgence autonome, régulateur de vitesse adaptatif, aide active au maintien dans la voie, alerte de baisse de vigilance...
Dévoilée à Detroit, la Stinger rejoindra les concessions françaises en fin d'année.
Source : Caradisiac